Marylise a attendu 10 ans le procès de son agresseur devant une cour d’assises. Mais son audience n’aura pas lieu devant un jury populaire à cause d’une réforme visant à désengorger les cours de justice. Aujourd’hui, elle se bat avec Benjamin Fiorini, président de Sauver les assises, pour que les violences sexuelles ne deviennent pas une sous-catégorie de crime.