Name: Depuis 20 ans, Randa Mirza documente l’histoire du Liban et interroge son avenir
Uploaded: 2024-08-05T08:34:31
Duration: 1 min 26 s
Description: Depuis vingt ans, Randa Mirza photographie son pays, le Liban. Ses séries photo interrogent les traces de la guerre, l’idée de résilience et le regard du public. Son exposition "Beirutopia" est présentée aux Rencontres d’Arles jusqu’au 29 septembre 2024.

François Carrel, alpiniste, revient sur l’ascension de l’Everest d’Inoxtag et ses conséquences

“On ne vient pas en France pour avoir 6,80 € par jour et pour être dans un foyer où les toilettes sont communes” : Kamilia est éducatrice spécialisée et revient sur tous les clichés

On a fait écouter des sons d’Aya Nakamura à des Américains

Jorja Smith en concert à Paris, choquée par la voix de son choriste

La voix française d’Harley Quinn et bien plus encore, c’est elle, Dorothée Pousséo

Konbini Arts

Cet été, le LUMA Arles a accueilli une rétrospective d’envergure dédiée à l’artiste états-unienne Judy Chicago. Connue pour ses œuvres plurielles, son travail pluridisciplinaire et ses engagements féministes, l’artiste fait revivre sa Feather Room, une installation artistique composée de 330 kilogrammes de plumes dans lesquelles le public est invité à plonger, loin de la dureté habituelle du monde patriarcal.

L’exposition "Herstory" est visible au Magasin électrique de LUMA Arles jusqu’au 29 septembre 2024.

On a plongé dans 330 kg de plumes grâce à l’artiste Judy Chicago

À l’occasion de la sortie de son film Dahomey, Mati Diop nous parle du difficile retour des œuvres pillées sur le continent africain pendant les colonisations : "Ce n’est pas l’histoire d’une puissance coloniale qui rend, c’est d’abord l’histoire d’un continent entier qui a été pillé." Récompensée de l’Ours d’or à la Berlinale 2024, la réalisatrice dénonce les silences qui entourent ces pillages. Le film, à la croisée du documentaire et de la fiction, met également en valeur les voix d’une jeunesse africaine silenciée, privée d’une partie de son histoire.

Colonisation, pillage d’œuvres : Mati Diop lève le tabou dans son film Dahomey

Pour faire face à ses "propres catastrophes", le photographe Cemil Batur Gökçeer s’est intéressé aux catastrophes naturelles. Incendies, inondations, séismes : il a photographié des paysages traumatisés. Fasciné par le hasard, il a décidé de calquer sur sa pratique photo son amour de la cafédomancie. Ses images, parfois soumises à une triple exposition, nous font entrer dans un univers onirique propice à l’introspection.

Sa série Thin Air est exposée aux Rencontres d’Arles jusqu’au 29 septembre 2024, à l’Espace Monoprix.

Pour affronter ses catastrophes intimes, Cemil Batur Gökçeer photographie des paysages traumatisés

Comment aimerons-nous, comment ferons-nous l’amour d’ici quelques années ? L’artiste Marilou Poncin interroge nos relations intimes à la lumière des avancées technologiques et de nos solitudes contemporaines. Son projet Liquid Love is Full of Ghosts est exposé aux Rencontres d’Arles jusqu’au 29 septembre 2024.

L’artiste Marilou Poncin imagine les relations intimes et charnelles de demain

La "poète visuelle" Tshepiso Mazibuko photographie les visages et cicatrices de la génération post-apartheid, en Afrique du Sud. Elle nous parle de son projet HO TSHEPA NTSHEPEDI YA BONTSHEPE ("Croire en quelque chose qui n’arrivera jamais"), exposé aux Rencontres d’Arles jusqu’au 29 septembre 2024.

Tshepiso Mazibuko photographie la génération post-apartheid et interroge l’idée de liberté

Depuis vingt ans, Randa Mirza photographie son pays, le Liban. Ses séries photo interrogent les traces de la guerre, l’idée de résilience et le regard du public. Son exposition "Beirutopia" est présentée aux Rencontres d’Arles jusqu’au 29 septembre 2024.

Depuis 20 ans, Randa Mirza documente l’histoire du Liban et interroge son avenir

Il a couvé des œufs pendant 21 jours, s’est isolé dans le ventre d’un ours pendant treize jours et, depuis hier, Abraham Poincheval s’est enfermé dans une bouteille qui flotte sur l’eau pour sept jours. Il nous explique les dessous de cette performance. L’œuvre fait partie du parcours "Les Victoires", soit six nouvelles œuvres ajoutées le long de la Street Art Avenue par Plaine Commune, avec l’aide de l’association COAL Art Écologie à Saint-Denis.

Pourquoi Abraham Poincheval s’enferme-t-il dans une bouteille géante pendant 10 jours ?

Dans la nuit du 26 au 27 juin 2024, des dessins des visages d’Aya Nakamura, de tirailleurs et de chibanis et de chibanias ont été projetés sur l’Assemblée nationale, à Paris. Avant le premier tour des élections législatives, nous avons suivi l’activiste et co-fondateur de Banlieues Climat Féris Barkat et des personnalités des mondes de la culture, de l’influence et de l’associatif qui ont projeté une immense fresque réalisée par Artemile sur la façade de l’Assemblée nationale.

Le but : éclairer la capitale et lutter pour la reconnaissance des histoires des immigré·e·s et des descendant·e·s d’immigré·e·s au sein de l’histoire française. "Les racistes n’ont pas demandé l’autorisation pour imposer leur vision du monde, nous ne demanderons à personne pour réaffirmer la dignité des nôtres. […] À quelques jours des élections, cette fresque n’est pas un appel à l’aide mais une fissure d’espoir pour nous répéter que la lutte ne s’essoufflera jamais."

Les visages de tirailleurs, de chibanis et chibanias et d’Aya Nakamura projetés sur l’Assemblée nationale ?

La Nuit au musée version "real life", c’est fait ! On a suivi Serge dans son job en tant qu’agent de surveillance de nuit au musée du Louvre dont la principale mission est d’assurer que tout est en ordre, de la fermeture à 18 heures, jusqu’à l’ouverture du musée au petit matin. Contrairement à ce que pourrait nous faire croire la série Lupin : "On ne rentre pas si facilement au Louvre".

Une nuit au musée du Louvre avec Serge, gardien de nuit

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Depuis 20 ans, Randa Mirza documente l’histoire du Liban et interroge son avenir

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