Ce sont de véritables sportifs qui s’entraînent quatre fois par semaine et partent en stage parfois au pôle France de Reims. Il est dur de les distinguer des autres sportifs. Lorsque l’on regarde en surface, on ne voit pas tout le travail fourni, leur vie souvent difficile, les regards portés sur eux qui ne sont pas faciles à gérer.
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À la finale de l'Euro sport adapté France - Pologne pour soutenir les bleus ! @FFSASportAdapte @TruffautMarc pic.twitter.com/A8eHotLgtM
— Ségolène Neuville (@s_neuville) 6 octobre 2016
Évidemment la gestion de ce type de rencontre est différente, car le sélectionneur Bruno Plumecoq doit se muer en psychologue, avec des joueurs très émotifs qui peuvent sortir de leur match contre lors de la demi-finale face à la Suède :
Tout est multiplié par deux ou par trois. Les émotions sont à fleur de peau. On voit plus vite le problème, qui est clair, net et franc, mais on met plus de temps à le résoudre. L’erreur de l’entraîneur se voit plus vite. Avec leur difficulté de compréhension, c’est toujours de ma responsabilité.