L’été, c’est la joie des journées passées à dorer au soleil, l’insouciance de s’offrir une petite boule de glace en guise de goûter, l’opportunité de partir en vacances pour se ressourcer… Mais pour une grande partie de la population, c’est aussi et surtout une période infernale à cause d’un fléau cyclique et auquel on ne peut échapper : les allergies.
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Ça tombe bien, on vous propose une session de catharsis pour nos renifleurs et renifleuses sûr·e·s avec Pollen, un film sur… les allergies à la semence des plantes à graines. Évidemment, comme tout bon film d’horreur indé et un peu WTF, le pollen prend une forme littérale façon Créature du marais (ou Leshen de la saga The Witcher pour mes sorceleurs qui auront la réf) avant de hanter une jeune femme incarnée par Ava Rose Kinard.
D. W. Medoff, le scénariste et réalisateur de Pollen, confie s’être inspiré de la mythologie grecque (les Dryades, les nymphes protectrices de la forêt) mais aussi de plusieurs œuvres culte du cinéma d’horreur : It Follows de David Robert Mitchell, Mister Babadook de Jennifer Kent ou encore la série The Haunting of Hill House de Mike Flanagan.
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Entre deux éternuements et raclements de gorge, Pollen est une métaphore sur les violences faites aux femmes, racontée à travers le parcours de son héroïne, Hera, agressée sexuellement par un collègue de travail. Traumatisée, elle est tourmentée dans ses cauchemars par un monstre qui a la forme d’un arbre, jusqu’à ce que ses visions deviennent réalité et que la créature la prenne en chasse au travail ou chez elle.
Le film devrait sortir prochainement en 2023 sur Apple TV+.
