Pharrell :
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Dimanche, 17 h 10, La Clairière, est-ce qu’on peut rêver d’un meilleur moment pour s’offrir un after d’after avec Troye Sivan ? Parce qu’une petite année après la sortie de “Rush”, je vais continuer à l’avoir dans ma playlist tube de l’été cette année et que “One Of Your Girls” est toujours la meilleure ballade pop aux relents presque daftpunkiens sortie ces derniers mois. Ah, et il part en tournée cet automne avec Charli XCX, donc autant vivre un peu la communion avant qu’on le revoie dans un stade dans deux ans.
Sandra :
C’était déjà la révélation de l’année dernière et, d’apparition en apparition, il ne fait que confirmer son statut d’artiste à suivre : TIF va boucler le festival de 23 h 00 à minuit et enflammer la scène de la Canopée. C’est le genre de spectacle à ne pas manquer, premièrement parce qu’il sera sûrement accompagné de musiciens et toute une belle équipe pour faire vibrer 1.6, un disque déjà important et deuxièmement parce que TIF est bientôt une star planétaire et que vous regretteriez terriblement de ne pas pouvoir dire “TIF à We Love Green, j’y étais”.
Coumbis :
Pourquoi je veux aller à We Love Green dimanche ? Pour Skepta, bien sûr. Je ne connais aucune de ses chansons, je ne pourrais même pas nommer un de ses titres même si ma vie en dépendait mais il est tellement sexy et énigmatique que je veux bien le regarder de loin pendant tout son set, avec mes yeux qui pétillent et mon cœur qui bat la chamade. Parce que oui, je viens d’apprendre qu’il va mixer et non rapper, donc c’est parfait. Je sais ce que je fais dimanche, du coup : je danse avec Skepta.
Robin :
Il n’y a pas que Tame Impala dans la vie, même si je les aime évidemment énormément. Dans le registre des groupes un peu psyché qui me détendent à la fin d’une journée bien chargée ou qui m’accompagnent quand je veux rendre une tâche désagréable plus confortable (passer l’aspirateur, par exemple) : King Gizzard and the Lizard Wizard. C’est doux, c’est moelleux, c’est dorlotant et l’avantage, c’est que ça s’écoute aussi bien sous le soleil afin de se déhancher maladroitement que sous la pluie pour ne pas perdre la face et conserver la bonne humeur.
Mélissa :
Je ne vais pas vous mytho, il y a encore un mois de cela, je ne connaissais Peggy Gou que pour son style de zinzin et ses tatouages trop stylés qui apparaissaient régulièrement sur mes différents feed Insta et/ou TikTok. Sauf que voilà, je reviens de Séoul, je suis une femme nouvelle et il faut sacher qu’en clubs, là-bas, on adore passer “(It Goes Like) Nanana” de la DJ sud-coréenne. Mon retour à Paris étant encore une plaie ouverte, la revoir serait un retour au pays des plus salvateurs (et clairement moins cher et plus écolo qu’un billet d’avion). Paraît-il qu’en plus, il y aurait un bail en cours avec le chouchou des nanas aka l’Ibérique Arón Piper. Alors si en plus d’entendre du bon son, je peux être à jour côté potins…
Yaëlle :
Selon moi, LA bonne raison de sortir de sa grotte et risquer la pluie dimanche, c’est bien le set de la DJ coréenne Peggy Gou, à We Love Green. Parce qu’on a besoin de se donner l’illusion d’être sous le soleil (de n’importe où, sauf ici), mais aussi, comme beaucoup, j’ai eu toute l’année son “(It Goes Like) Nanana” dans la tête, et j’aurais (peut-être) vendu mon âme pour être au festival Oasis à Marrakech, la voir mixer au milieu des joueurs de Bendir. Bref, c’est la queen de la musique électronique, milieu masculin AF, elle ouvre des grandes portes et ses mélodies sont devenues incontournables. Sans même la connaître, vous reconnaîtrez ses sons et vous ne pourrez pas vous empêcher de danser.