En couverture de Vogue US pour la première fois, Nicki Minaj est revenue notamment sur son nouvel album à paraître le 8 décembre prochain, sur sa carrière et sur son fils, qu’elle surnomme “Papa Bear”. Mais c’est un autre sujet de l’interview qui va nous intéresser aujourd’hui : son avis et son expérience sur la chirurgie esthétique.
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Dans l’article fleuve diffusé par Vogue et disponible ici, la rappeuse américaine se livre sur les opérations chirurgicales effectuées au cours de sa vie, comparant son apparence actuelle et celle de l’Onika Tanya Maraj d’il y a quinze ans : “Je viens de regarder une vidéo que j’ai postée sur Instagram quand j’avais 25 ans, et je paierais pour ressembler à ça en ce moment.” Celle qui a récemment subi une réduction mammaire affirme maintenant : “Je suis en paix avec qui je suis et à quoi je ressemble. Avant, je voulais des fesses plus grosses, et maintenant, je me rends compte à quel point c’était idiot. Alors aimez vos courbes et aimez vos non-courbes. Il n’y a rien de mal à tout cela.”
Merci, Papa Bear
Dans le podcast The Run-Through de Vogue accompagnant la sortie du magazine, Nicki donne de plus amples détails, reliant son changement de positionnement à l’arrivée de son fils : “Voir mon fils m’a tellement rappelé moi-même. Mon vrai moi. Et ça m’a fait réfléchir à ‘Pourquoi je n’aimais pas ça ?’. C’est tellement bizarre.” Si son fils a été l’électrochoc en faveur d’un corps plus naturel, le monde du hip-hop, lui, aura été le déclencheur du début de sa transformation au commencement de sa carrière, se comparant aux autres femmes du monde du rap et sentant un manque de confiance physique nécessitant d’être comblé, chose qui n’est plus le cas à l’heure actuelle.
Un discours qui fait écho à celui d’autres stars américaines comme SZA, Cardi B ou encore Latto, qui ont mis en garde, tout comme Nicki Minaj, sur les dangers entourant la chirurgie esthétique et l’importance de se sentir belle ou beau comme on est.