Les deux acteurs seront bel et bien à l’affiche de The Dark Tower, un film adapté de la série de romans de Stephen King. L’information a été confirmée par l’écrivain en personne.
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Après des mois de spéculations, c’est désormais officiel : Matthew McConaughey et Idris Elba se retrouveront dans The Dark Tower (La Tour sombre), adaptation de l’une des plus célèbres séries de romans de Stephen King. C’est l’écrivain en personne qui a annoncé la nouvelle, sur Twitter.
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Idris Elba y incarnera le fameux Gunslinger, nommé Roland. À la quête de la mythique Tour sombre, il est le dernier pistolero encore vivant de Gilead, contrée en perdition dont l’univers, parallèle, est similaire à l’Ouest américain. Dès le début de l’histoire, Roland suit un mystérieux homme en noir, comme le raconte la première phrase du premier volet de la série de romans, qui fera aussi office d’ouverture du film :
“L’homme en noir fuyait à travers le désert, et le pistolero le poursuivait.”
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L’homme en noir (the man in black), à l’habit de faiseur de miracles, sera interprété par Matthew McConaughey. L’intrigue, quant à elle, ne tournera pas autour du premier volet de la série de romans, mais démarrera au milieu de la saga, et ce en partie dans le monde moderne. On peut alors imaginer le flash-back qui a lieu dans le quatrième tome se produire dès le début du film, pour établir le contexte à partir de la racine de l’histoire.
Rendez-vous en 2017
Évoquée depuis 2011, cette adaptation se concrétise enfin. Le film sera tourné en Afrique du Sud, sous la direction de Nikolaj Arcel. Si ce nom ne vous dit rien, sachez qu’il a coécrit et réalisé le film danois A Royal Affair (2012)et s’était occupé de l’écriture de la version suédoise de The Girl With the Dragoon Tattoo. La production du film devrait commencer dans les mois à venir, Sony ayant déjà fixé sa sortie au 13 janvier 2017.
Entre fantasy, magie, horreur et western, la saga à succès (plus de 30 millions d’exemplaires vendus dans le monde en 2010) était qualifiée par son auteur, Stephen King, de “Jupiter du système solaire dans [son] imagination”, la considérant comme étant son œuvre principale. On a hâte de voir cet univers transposé à l’écran.
