Tromperie, conflit et soupçon de crachat : avant même sa sortie, Don’t Worry Darling avait fait beaucoup jaser, suscitant moult spéculations sur des tensions, rivalités et incidents entre les protagonistes. Quarante personnes de l’équipe ont aujourd’hui pris la parole dans une lettre ouverte publiée dans les colonnes de People pour assurer de la bonne ambiance sur le plateau et tenter de réparer les pots cassés.
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Mais il n’y avait pourtant pas de quoi s’inquiéter. Pas franchement applaudi par la critique, le film affichait un score de seulement 38 % sur le site Rotten Tomatoes, qui compile les avis de journalistes spécialisés. Il a pourtant pris un bon départ dans les salles obscures nord-américaines, arrivant en première position ce week-end. Le film a engrangé 19,2 millions de dollars, selon des chiffres provisoires du cabinet Exhibitor Relations publiés dimanche.
Dans Don’t Worry Darling, sorte de Truman Show angoissant dans l’Amérique des années 1950, Florence Pugh (Black Widow) incarne Alice, une jeune femme bien sous tous rapports vivant à Victory, une petite ville modèle construite en plein désert par un mystérieux homme d’affaires, joué par Chris Pine.
Comme toutes ses voisines, Alice a une vie réglée comme du papier musique et, a priori, tout pour être heureuse aux côtés de Jack (Harry Styles), son compagnon, qui part chaque matin pour un travail dont elle ignore tout. En échange de ce bien-être matériel, Victory n’a qu’une seule règle : ses habitants ne doivent jamais sortir des limites de la ville. Une consigne qu’Alice ne va pas tarder à briser…
Konbini avec AFP