#1. Toujours avoir une longueur d’avance…
Si les cinq parties de La Casa de Papel nous ont bien inculqué une chose, c’est d’apprendre à être prévoyant·e et à anticiper. Et en manière d’anticipation, El Professor s’y connaît mieux que personne. Au travers d’entourloupes spectaculaires, de tromperies rocambolesques et de combines en tout genres, le Professeur a démontré qu’il avait (presque) toujours une longueur d’avance sur ses adversaires et c’est bien utile lorsque l’on est la tête pensante d’un casse d’envergure.
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À l’image de Sergio Marquina, donc, apprenez à préparer minutieusement et de A à Z chaque étape de votre plan, à ne pas vous laisser devancer et à anticiper les coups de vos adversaires. Surtout, n’ayez pas peur du ridicule !
#2. … mais savoir s’adapter en cas d’échec
Anticiper et savoir se préparer, c’est bien. Réussir à élaborer un plan B et apprendre à réagir du tac au tac si votre plan A a échoué, c’est encore mieux, car dans la vie, on est jamais à l’abri d’un retournement de situation. Encore une fois, Le Professeur est un expert dans ce domaine et c’est ce qui fait de lui un excellent leader. Lorsqu’il était pourchassé par la police et à deux doigts de se faire prendre, sa vivacité d’esprit lui a sauvé la vie. Une leçon à retenir : il faut toujours avoir plus d’un tour dans son sac et assurer ses arrières.
#3. Éviter de tomber amoureux·se de ses collègues de boulot
Encore plus lorsque vous êtes en plein milieu d’un braquage. Encore moins lorsqu’il s’agit d’un·e otage, ou pire, de l’inspectrice en charge de vous faire tomber. Non mais sérieusement, on a bien vu ce que ça avait donné quand Rio, de retour de prison, avait soudainement décidé de casser avec Tokyo, ou encore quand Mónica était vénère contre Denver. À maintes reprises, nos couples préférés auront été à ça de faire foirer tout le plan à cause de leurs histoires d’amour.
Alors oui, l’amour, c’est plus fort que tout, mais ce n’est pas forcément la meilleure idée de mélanger les sentiments et sa vie pro, surtout quand il y a des armes et un enjeu aussi dangereux dans l’équation. Et puis dans tous les cas, ce n’est jamais une très bonne idée de s’enamourer de ses collègues. On fera juste une petite exception pour Jim et Pam de The Office.
#4. Sois proche de tes amis, et encore plus proche de tes ennemis
Ce dicton bien connu n’a jamais été aussi bien illustré qu’au travers de la série espagnole. Que ce soit en se rapprochant de l’inspectrice Raquel Murillo lors des premières parties, ou bien en se liant d’amitié avec la géniale et déterminée Alicia Sierra, El Professor aura vu juste sur toute la ligne. Quoi de mieux que se rapprocher de son adversaire principal afin d’anticiper tous ses faits et gestes ? En bonus, la série nous a offert l’un des meilleurs duos sur la fin qui aura procuré une bouffée d’air frais à une série qui commençait malheureusement à s’essouffler.
#5. Le mieux est l’ennemi du bien
En parlant d’essoufflement, beaucoup de fans de la série ont reproché aux showrunners, peut-être un peu trop gourmands, de ne pas s’être arrêtés après le premier braquage réussi dans la fabrique de la monnaie. En se lançant dans un nouveau casse pour sauver Rio, cette fois-ci au sein de la Banque Nationale d’Espagne, La Casa de Papel a malheureusement perdu quelques spéctateur·rice·s en chemin, qui en ont eu marre d’avoir constamment une impression de déjà-vu.
#6. Il n’y a rien de plus important que la famille…
La Casa de Papel, c’est aussi et surtout une histoire de famille. Rien n’aurait été possible si le Professeur et son frère, Berlin, n’avaient pas eu une confiance réciproque l’un envers l’autre dans l’élaboration d’un plan. De même, Nairobi n’aurait sûrement jamais rejoint l’équipe, sinon pour offrir une meilleure vie à son jeune fils. Enfin, les adieux franchement déchirants de Denver à son père, Moscou, nous auront appris qu’il faut toujours chérir nos parents et que malgré les désaccords et les embrouilles, il n’y a pas grand-chose de plus important que la famille.
#7. Mais on ne peut pas faire confiance à tout le monde
Bon, la famille c’est important, mais il faut toujours se méfier de l’eau qui dort. Rafael, le fils de Berlin, ainsi que Tatiana, son ex-femme, tous deux arrivés dans la cinquième partie de la série espagnole, en sont l’exemple parfait. Qui aurait cru qu’au dernier moment, tout le plan du professeur soit compromis par son propre neveu ? On ne s’y attendait clairement pas. Mais bon, ce dernier s’est bien racheté sur la fin. Quoi qu’il en soit, on fera tout de même attention à ne pas faire confiance à tout le monde.
#8. Inutile de trop jouer au héros
Ah… ce sacré Arturito. Bien que détrôné sur la fin par l’horrible, l’affreux, l’exécrable Gandía, Arturo en aura fait voir des vertes et des pas mûres à toute la joyeuse bande de braqueur·ses durant toutes ces saisons. Néanmoins, et malgré une certaine haine à son encontre, le personnage nous a appris que parfois, mieux vaut ne pas trop jouer au héros et que cela peut rapidement se retourner contre nous. Donc avant d’agir, réfléchissez et analysez la situation.
#9. Il n’y a pas de mauvais moment pour pousser la chansonnette ou pour faire la fête
Que ce soit en plein milieu d’une maison de campagne, à l’occasion d’un mariage ou enfermé dans la Banque d’Espagne, il n’y a pas d’excuse. Du mythique Bella Ciao entonné à tue-tête par toute l’équipe à de nombreuses reprises, à l’incroyable interprétation de Ti Amo chantée par Berlin accompagné d’un chœur de moines, La Casa de Papel nous aura offert de beaux moments musicaux qui resteront à tout jamais gravés dans nos esprits.