“Consommer du pop-corn rend les participants immunisés aux effets persuasifs de la publicité. Ces résultats suggèrent que vendre des friandises court-circuite les effets de la pub. Cela contredit les stratégies marketing actuelles. Dans le futur, quand les annonceurs promouvront une nouvelle marque au cinéma, ils auront tout intérêt à faire attention à ce qu’aucune friandise ne soit vendue avant le film”, explique Sascha Topolinski, l’un des chercheurs sur le projet. “Car pour les nouvelles marques, une exposition maximale et répétée est nécessaire pour ancrer cette dernière dans le cerveau des consommateurs”, conclut l’étude.
Alors, malgré le bruit agaçant du pop-corn, on ferait peut-être bien de tous s’y mettre.
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