Un festival hors norme
S’il est le plus grand festival musical d’Europe, ce n’est pas pour rien. L’été dernier, ce sont plus de 500 000 festivaliers de 102 nationalités différentes qui s’étaient rendus sur l’île de la Liberté. Concernant la place, pas de restrictions : en plus des trois campings, il est possible de planter sa tente où l’on veut sur les presque 2 km de longueur de l’île.
C’est une véritable ville dans la ville qui s’installe chaque année sur les bords du Danube, puisqu’il est possible de tout faire sur l’île : manger, dormir, boire, mais également faire du sport, se baigner, jouer à des jeux, suivre des cours de yoga ou encore participer à un millier d’animations et d’attractions. Il y a même un hôpital pour soigner les plus gros bobos.
Autre grand moment, les activités collectives géantes appelées “special parties”, comme les lâchers de ballons, les “confetti parties” ou les “color parties”, qui ont lieu chaque jour. Ce n’est pas pour rien que le Sziget a obtenu cette année le prix du festival préféré des artistes en Europe.
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Une programmation longue comme le bras
La programmation donne presque le tournis. Le line-up du Sziget, avec ses 50 scènes ouvertes 24 heures sur 24, a de quoi contenter tous les goûts et réserve de belles surprises. Il y aura une flopée de stars internationales : Pink, Macklemore & Ryan Lewis, Major Lazer, Alt-J, The Kills, Metronomy, DJ Shadow, Crystal Fighters, Cashmere Cat, Mac DeMarco, PJ Harvey, Two Door Cinema Club, Flume, Interpol, Carl Craig ou encore Danny Brown. La scène française sera également bien présente avec Biga Ranx, Clément Bazin, Rone, Her ou Naâman.
Ces noms sont la partie émergée de l’iceberg, il suffira de déambuler sur les différentes scènes pour découvrir des groupes venus du monde entier. Car au Sziget, les possibilités sont tellement grandes que l’on peut passer une semaine de folie et se perdre sans voir un seul groupe sur la scène principale.
