Cet article n’est pas sponsorisé par Apple TV+ mais on se doit de rétablir une injustice : la plateforme a, à ce jour, parmi les séries les plus sous-cotées du moment. De véritables pépites se cachent dans ce catalogue, qui attire des noms prestigieux du petit comme du grand écran, et personne ou presque n’en parle.
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L’une de ses plus grandes réussites, c’est sans conteste la série uchronique For All Mankind, qui débute au moment de la course aux étoiles entre les États-Unis et la Russie. Une histoire alternative où ce sont les Soviétiques et non les Américains, qui ont réussi le premier alunissage. De décennies en décennies, la série suit le quotidien, au sol comme dans l’espace, d’une ribambelle de personnages tous plus attachants les uns que les autres.
Restée assez confidentielle, For All Mankind continue pourtant sa conquête du cœur des sériephiles en décrochant une cinquième saison et un spin-off, comme viennent de l’annoncer ses créateurs, le roi de la SF Ronald D. Moore (c’est à lui que l’on doit le remake cultissime de Battlestar Galactica), Matt Wolpert et Ben Nedivi.
La série dérivée, baptisée Star City, est présentée comme un “thriller propulsif paranoïaque” (une description plutôt énigmatique). Elle se basera toujours sur le postulat que la Russie a posé en premier le pied sur la Lune mais cette fois, se placera du point de vue soviétique, derrière le rideau de fer, dans le quotidien des cosmonautes et ingénieur·e·s qui ont rendu cela possible.
