L’indépendance est un concept important pour J. Cole et, depuis quelques semaines, il décide de combiner cet engagement à sa créativité et ses besoins en communication. Might Delete Later est le nom de son burner account — un terme utilisé pour parler d’un compte créé sur un réseau social de manière anonyme, destiné à une vie éphémère et décorrélé de ses activités principales. D’abord lancé sur Instagram puis sur YouTube avec deux vidéos postées en quelques semaines, J. Cole nous plonge dans son quotidien dans une forme hybride entre reportage en tournée et sessions studio et teasing de prochains morceaux.
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Alors qu’est-ce que le burner de J. Cole nous apprend ?
- Tout le monde le vanne sur ses origines allemandes. Oui, nous aussi on a du mal à s’y faire mais J. Cole est bel et bien né à Francfort.
- Il déteste son premier projet en partie à cause d’un Jay-Z aux exigences très précises à la signature du jeune J. Cole : “Tu ne sortiras pas d’album tant que tu n’as pas sorti de hit”. Le jeune rappeur voulait rapidement libérer son effervescence musicale sans stratégie commerciale quitte à faire flop les ventes mais s’est vu contrarié dans son projet face à un Jay qui réclamait un classique : “Ça doit être un Illmatic“.
- Son prochain album The Fall-Off est pressenti pour cette année et J. Cole révèle qu’il a déjà eu droit à six versions différentes.
- Central Cee, Lil Yachty, Sexyy Red, Drake passent au studio… on a sûrement une idée du casting en approche.
- On a droit au teaser d’un morceau en featuring avec Bas et un solo dont il révèle un couplet monstrueux tout en nous faisant profiter d’une balade à vélo.
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Du sport, des moments de vie, des confidences : J. Cole offre à son public un écrin original et intimiste dont il a la pleine maîtrise pour partager son quotidien tout en nous gratifiant d’extraits inédits. On est hypés pour la suite.