Alors, ça flippe le plus où ? Voici la carte de France des départements les plus hantés (oui, oui)

Alors, ça flippe le plus où ? Voici la carte de France des départements les plus hantés (oui, oui)

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© Voyance Tchat

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Par Konbini

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À quelques jours d’Halloween, voici une carte utile pour savoir où il faut mettre les pieds… ou pas.

À quelques jours d’Halloween, un drôle d’e-mail m’a été envoyé. À l’intérieur, un communiqué de presse, mais surtout une carte de France des départements les plus hantés. Créée par le site Voyance Tchat, cette dernière liste et énumère le nombre de pierres tombales, de cimetières, de bâtiments abandonnés, et l’ancienneté des constructions, les légendes effrayantes, pour ainsi révéler les départements les plus hantés de France.

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C’est le Gers qui se hisse à la première place du classement avec un nombre impressionnant de 18 203,20 pierres tombales pour 10 000 habitants. “Situé dans le sud-ouest de la France, ce département, riche en histoire, compte également 35,83 cimetières pour 10 000 habitants et une moyenne de construction des bâtiments datant de 1916, lui valant un score ‘hanté’ de 9,18/10”, dit le communiqué. “Outre ses cimetières récents, le Gers abrite des vestiges gallo-romains, notamment des piles funéraires, témoins d’un passé antique, renforçant l’atmosphère mystique de ce lieu.”

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À égalité avec le Gers, la Creuse squatte le haut du classement avec un score hanté de 9,18/10. “Ce département rural incarne une tranquillité empreinte de mystère. Les bâtiments y sont généralement plus anciens, avec une année moyenne de construction datant de 1906. Ces caractéristiques, alliées à une faible densité de population, créent une atmosphère propice aux récits de fantômes. Il semblerait que le département soit hanté depuis le XXe siècle, notamment en raison de la légende de la Bête de Noth, un animal carnivore qui a terrorisé les troupeaux dans les années 1980”, souligne l’étude.

La Nièvre, elle, complète le podium avec un score hanté de 9,11/10. “Les visiteurs peuvent s’attendre à une ambiance empreinte de récits fantastiques, alimentant leur curiosité sur ce que l’on pourrait trouver dans les ombres de la Nièvre”, lit-on. La Haute-Marne se place en quatrième position avec un score hanté de 9,01/10 : “Les bâtiments de la Haute-Marne sont relativement anciens, avec une année moyenne de construction datant de 1911. L’histoire de JoJo et de son loup, qui auraient hanté les bois environnants, est devenue une légende locale à Baissey, contribuant encore davantage à l’aura énigmatique du département.”

On apprend également dans cette étude que Paris, bien que célèbre pour ses catacombes emblématiques, se classe seulement à la 71e place, avec un score hanté de 3,10. La capitale compte 1 377,42 pierres tombales pour 10 000 habitants et 0,11 cimetière, avec seulement 22 cimetières au sein de cette vaste métropole. “Les bâtiments parisiens affichent une année moyenne de construction datant de 1901, et la présence de seulement 0,14 bâtiment abandonné pour 10 000 habitants souligne la rareté des vestiges mystérieux. Ainsi, malgré son histoire riche et ses lieux emblématiques, Paris présente un charme hanté bien plus discret que celui des départements ruraux”, finit le communiqué.