Avec son crew Electro Street, Alou Sidibe fait partie des prodiges de la danse électro. À travers une série de clichés réalisés avec le Samsung Galaxy S9+, Konbini vous raconte en images les habitudes quotidiennes d’un pro pour atteindre le juste équilibre entre performance et créativité, le temps d’une journée placée sous le signe de la passion.
À la frontière entre le sport et l’art, la danse est une discipline qui nécessite des compétences multiples : une détermination infaillible pour repousser les limites de la performance, mais aussi une bonne dose de créativité. C’est ce que nous prouve Alou, alias Kyrra, danseur et chorégraphe au talent ahurissant. Passé par les rangs de la compagnie Bianca Li, il est le co-fondateur du crew Electro Street, référence de la scène danse électro en France, qui fera d’ailleurs une apparition dans le prochain film de Gaspard Noé, Climax, dont la sortie est prévue en septembre.
Plus qu’une passion, la danse fait partie intégrante de la vie d’Alou, et s’impose comme un véritable moyen d’expression pour libérer ses émotions et se réaliser pleinement. Le temps d’une journée, nous avons suivi le jeune homme, armés de nôtre Samsung Galaxy S9+, afin de découvrir la façon dont il parvient à cultiver sa créativité en tant qu’artiste, et son entraînement intensif en tant qu’athlète. Immersion dans le quotidien du danseur, à la croisée entre performance physique et recherche artistique permanente.
#1 Profiter de l’inspiration matinale
C’est chez lui, à Champigny-sur-Marne, que nous retrouvons Alou pour commencer la journée. On découvre un jeune homme naturel et souriant, dont la vie est entièrement rythmée par la danse. Une discipline qui le passionne aussi bien pour sa dimension athlétique que pour la recherche artistique qui y est liée, pour mettre au point de nouvelles chorés. Chez lui, les affiches qui recouvrent les murs racontent toute la passion du jeune homme, et lui insufflent au quotidien l’inspiration pour donner vie à de nouveaux mouvements, et sans cesse repousser les limites de son imagination.
Influencé par le style et la technique de Dedson du groupe Wanted Posse, de Cloud du crew Skill Methodz et de Mike Song, pas une journée ne se passe sans qu’Alou ne s’essaie à de nouveaux mouvements. Une routine qui débute dès les premières heures de la journée, puisque c’est directement après le petit-déjeuner que le jeune homme se livre à quelques esquisses, enchaînant avec une souplesse scandaleuse (pour le commun des mortels) les contorsions et nouvelles positions.
En parallèle, Alou puise ses inspirations dans les arts graphiques et visuels, afin d’imaginer constamment de nouvelles façons audacieuses de se mettre en scène. Pour s’en convaincre, il suffit de jeter un œil aux vidéos arty et ultra-addictives postées sur le compte Facebook d’Electro Street.
#2 La ville comme terrain de jeu
Pour le jeune homme, la matinée se poursuit sur les bords de Marne et bien évidemment, toujours en dansant. Il profite du calme de ce cadre isolé pour laisser libre cours à sa créativité. Avec concentration, Alou affine son style, en s’inspirant de l’environnement qui l’entoure pour tester de nouveaux mouvements à intégrer aux chorégraphies d’Electro Street.
Unique en son genre, le style d’Alou conjugue les codes du hip-hop et de la danse électro, teinté d’influences urbaines et underground. On y retrouve pêle-mêle des emprunts au voguing et ses poses graphiques, mais aussi au flexing, ce style de danse apparu à Brooklyn à l’orée 2000, qui se caractérise par d’impressionnantes contorsions effectuées avec une facilité déconcertante… Un style la fois explosif et ultra-précis, qui demande beaucoup de technique pour parvenir à enchaîner des mouvements pointus et énergiques, le tout dans une extrême fluidité.
S’il accorde beaucoup d’importance (et de plaisir !) à la création et à l’impro, le jeune homme sait que la recette du succès se traduit surtout par une pratique intensive et un travail acharné. En parallèle, il profite donc de ces moments privilégiés pour réviser ses classiques, répéter et recommencer encore, jusqu’à atteindre la perfection dans l’exécution de ses mouvements.
#3 L’union fait la force
Plus qu’une passion, la danse fait partie intégrante de la vie d’Alou : c’est son loisir, son sport, son taff, mais aussi un peu sa famille, grâce aux profonds liens d’amitié noués avec les membres de son crew. Une complicité qui crève les yeux lorsque Alou retrouve Mamadou, Taylor et Adrien pour bosser leurs chorés, et taper quelques barres par la même occasion.
Pour se livrer à une petite séance de répétition improvisée, c’est devant la Rotonde de Stalingrad que le groupe de potes se donne rendez-vous. Un lieu singulier et bouillonnant, où le charme bohème du 10ème arrondissement rencontre l’esprit street du 19ème, où les constructions du 18ème siècle se fondent harmonieusement dans le paysage urbain parisien. Un lieu tout en contrastes, qui s’impose pour le crew comme le décor parfait pour mettre en valeur leurs chorés, pour le plus grand bonheur des passants.
Après quelques minutes d’entrainement, un cercle se forme autour du groupe, qui enchaîne les impros et les figures millimétrées avec une énergie féroce. Un moment de kiff pour Alou et ses potes, qui leur permet aussi de s’échauffer avant d’entamer une session beaucoup plus technique.
#4 Répéter à l’infini
Dernière étape de la journée, et pas des moindres, la répétition en salle. Ici, c’est du sérieux, il s’agit de peaufiner les mouvements avec obstination jusqu’à ce que la synchronisation soit parfaite, quitte à recommencer des heures durant. L’atmosphère est solennelle, digne d’une salle de ballet classique, et la concentration se lit sur les visages des danseurs qui repoussent leurs limites pour atteindre l’excellence. Un entrainement drastique et extrêmement exigeant, loin des paillettes des tapis rouges ou de l’effervescence des battles, mais qui s’impose comme la clef du succès pour Alou et les membres du crew…
Si Alou est une figure de la danse street dont l’histoire mérite d’être racontée, Samsung s’entoure de personnalités tout aussi créatives à l’occasion de la sortie du Samsung Galaxy S9+. Sportifs, djs, modèles ou talents singuliers , tous méritent d’être reconnus pour leur art, et nous le partagent sur les réseaux sociaux.
Comme @yam_sonite qui a choisi le Samsung Galaxy S9+ pour ses features exceptionnelles : Super ralenti vidéo, photos basses lumières exceptionnelles, double ouverture de l’objectif pour capter la meilleure lumière au meilleur moment. Un condensé de technologies pour capturer et partager des performances uniques, et repousser toujours un peu plus loin les limites de la créativité.