Comme une envie de session sportive outdoor, non ? C’est qu’avec l’arrivée de la “saison des amours”, les degrés grimpent, les journées s’allongent. Bref, après de longs mois d’hibernation passés dans nos chez-soi feutrés, l’ère du grand bol d’air frais a sonné – enfin ! Alors on sort, on respire un grand coup. Et puis on profite des panoramas de mère Nature de la plus belle des manières qui soit : en faisant du sport, bordel.
Reste à choisir quelle tenue enfiler. Parce que quitte à s’époumoner, autant le faire avec l’équipement adéquat, évidemment. Ça tombe bien, la griffe textile Icebreaker vient de sortir sa collection printemps. Des sapes axé régulation des températures, aisance de mouvement et durabilité pour refaire ta garde-robe, de la tête aux pieds. Un panel de prêt-à-porter qui annonce la période estivale, en rejoignant un généreux catalogue de vêtements de performance pour toutes les météos, et toutes les activités d’extérieur. Cerise sur le gâteau : un mode de production éthique, de A à Z. Focus.
Le prêt-à-porter idéal pour suer (mais pas trop quand même, justement…)
Créer une ligne sportive outdoor implique un certain nombre de contraintes. Il y a la question de la résistance du textile, ses capacités d’isolation, sa résilience face aux caprices météorologiques… Pour répondre à ces défis, Icebreaker a confectionné un vestiaire complet. Du legging thermique aux vestes zippées, en passant par le polo ou encore le T-shirt à impression, pour ceux qui aimeraient la touch citadine. Le point commun de ces produits ? La promesse d’un tissu auto-régulateur qui se porte à même la peau, sans risque d’irritation. Grâce à l’usage du mérinos, tout simplement.
Petit miracle de Mère Nature (encore elle !), cette laine – qui passe à la machine, oui, oui – détient des propriétés thermorégulantes. Grosso modo : si vous vous caillez, le tissu maintient votre corps au chaud. Et dans le cas où vous vous baladez sous 28°C à l’ombre, il l’empêche de passer en mode ébullition. Sympatoche, lorsqu’on projette une virée en montagne, par exemple. Et la marque n’en reste pas là puisqu’en matière d’adaptabilité, elle a mis au point neuf types de couches, répondant aux besoins spécifiques des activités différentes sportives.
Pour une expérience optimale, chacun peut visiter cette page, afin d’obtenir des recommandations de pointe. Histoire de déterminer quel grammage choisir, comment superposer les textiles, etc. En fonction de si vous êtes team course à pied pépouze, ou ski ambiance piste noire. Du sur-mesure, quoi. Et peu importe votre choix, la garantie reste la même : une extensibilité du tissu évaluée à 30 % – donc à moins que vous vous fassiez choper par un ours, les fibres devraient tenir le choc de vos activités les plus intenses -, une résistance naturelle aux odeurs, et la capacité d’aspirer l’humidité de votre peau, pour ensuite l’évacuer.
En bref, aucun risque de terminer en totale nage supplément infection, au terme de vos sessions. Alors on dit merci, les moutons mérinos.
Un cercle éco-responsable, aux côtés des plus badass des moutons
À l’origine du prodige textile qu’utilise Icebreaker, il y une espèce ovine pas comme les autres : le mérinos. Soit l’un des moutons les plus résistants au monde. Besoin d’une preuve ? Ces Hercule quadrupèdes survivent dans les conditions extrêmes de la Nouvelle-Zélande grâce à leur toison. Sorte d’égide bio, qui leur assure un confort par hivers glaciaux (-10°C, tout de même) comme étés caniculaires (plus de 30°C, purée). Donc voilà. Ces bêtes là sont juste des monstres.
Ou tout du moins la pioche idéale pour mettre au point une collection autonome, niveau thermorégulation. De sorte que depuis 1995, Icebreaker utilise ce matériau sans nul autre pareil. Avec une ambition claire : proposer une gamme orientée organique, en adoptant pour crédo “*F*KE NO. Choose real, move to natural” (non à l’artificiel. Choisissez authentique, orientez-vous vers le naturel). Une interpellation qui a pris la forme d’une campagne promotionnelle, à travers laquelle Icebreaker, en s’adossant aux technologies de l’IA, a fait débouler dans les beaux quartiers de notre capitale… Un troupeau de mérinos. Réalistes à s’y méprendre, ce curieux cheptel nous interroge : sommes-nous capables de démêler le vrai du faux ? Devons-nous faire la distinction entre matière synthétique, et tissus naturels ? Après tout, il y a urgence.
Dans un contexte de crise climatique où l’industrie textile arrive en tête de liste des secteurs les plus polluants au monde, et où les dérives de la fast fashion ne cessent d’être décriés – pour des raisons climatiques, mais aussi de droits humains et de respect de la vie animale -, Icebreaker entend marquer sa différence, en affichant un score 96,14 % de productions sans plastique. Et en orientant toute sa chaîne de production vers un système à 100 % traçable, basé sur des partenariats de longue durée avec plusieurs dizaines de partenaires qui encadrent nos champions mérinos à l’air libre de Nouvelle-Zélande, avec un minimum d’intervention humaine. Et grâce à des aménagements d’agriculture régénérative. Un circuit vertueux, depuis l’élevage éthique jusqu’au produit éco-responsable dédié à vos activités sportives pref’. Alors y’a plus qu’à. 1,2,3… Partez !
* F*KE NO, Choose Real : Non aux artifices. Choisissez l’authenticité