Ils s’appellent Annick, Paul ou encore Amandine et, pendant plusieurs mois, ils se sont occupés de Michel Drucker à l’hôpital quand il a frôlé la mort.
Le journaliste, qui publie Ça ira mieux demain aux éditions Robert Laffont, se confie sur cette époque douloureuse où il dépendait du personnel soignant et souhaite saluer leur courage et leur empathie.