Fatima Ezzarhouni et Sophie Pirson se sont rencontrées en 2018 dans un groupe de parole lancé par deux sociologues pour que mères de djihadistes et victimes d’attentats puissent échanger et partager leur douleur.
Fatima Ezzarhouni a vu son fils partir faire le djihad en Syrie en 2013, à tout juste 18 ans. Sophie Pirson a cru perdre sa fille grièvement blessée lors de l’attentat du métro de Maelbeek à Bruxelles en 2016.
Nous sommes allés en Belgique à la rencontre de ces deux mères qui ont décidé de faire de leur amitié un symbole de paix.
Elles publient Couvrez-les bien, il fait froid dehors… aux éditions du Cerisier.