Si vous passez un jour chez Konbini, vous ne pourrez pas rater le bureau de Konbini food. La légende dit que même les chaises et les tables sont fabriquées en livres de cuisine et mets divers et variés reçus au fil des années. Bon, vous l’aurez deviné, cette semaine, on a reçu des Kinder qu’on ne connaissait pas, les Tronky, et forcément, on a croqué dedans.
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(© Konbini)
Un petit paquet avec, dedans, cinq bâtonnets emballés, dessus, un nom, “Tronky”. Ce nom, c’est déjà celui d’une autre gourmandise de chez Ferrero, les Tronky Nocciola, trouvables en Italie. Mais pour autant, ces Tronky ne sont pas les mêmes Tronky, et ce n’est pas que le nom “Kinder” qui fait la différence. On est bien sur de petites gaufrettes fourrées, mais la version Kinder, elle, est garnie d’un cœur au lait enrobé d’une couche de chocolat et de gaufrette, donc.
(© Konbini)
Croc-croc-croc, on jette notre dévolu. Alors, vaut-il le coup d’être glissé dans notre panier des jours où on a besoin d’une petite madeleine, ce Tronky ? En tout cas, il coche les cases de ce qu’on cherche chez Kinder : le goût de lait ultrasucré qu’on reconnaît entre tous et un bon jeu de texture, entre le croustillant et le fondant. Est-ce que ça vaut un Kinder Bueno ? On n’ira pas jusque-là, mais le Tronky est plus petit, ce qui lui donne l’argument d’être un plaisir – pas trop – coupable.
“C’est une gaufrette, y a du chocolat, c’est comme un Quadro”, “On dirait un long Schoko-Bons”, “C’est un peu un Bueno inversé” : ça, ce sont les petites phrases de mes collègues après avoir eux aussi jeté leur dévolu sur la petite barre chocolatée. Bref, c’est nouveau, ça a le goût de Kinder, donc forcément, un soir de tristesse, ça saura nous remonter le moral.
Kinder Tronky, 2,29 euros la boîte de 5 en grande distribution. Article rédigé dans le cadre d’une mise à disposition de produits.