Alors que la prochaine saison de Top Chef approche, plusieurs nouveautés ont déjà été annoncées pour ce quinzième anniversaire : de nouvelles épreuves inédites et des épreuves historiques totalement métamorphosées, le retour de cinquante anciens candidats des saisons passées, des chefs de renommée mondiale qui participeront à l’émission pour la première fois… Mais aujourd’hui, la grande nouvelle, c’est l’annonce très attendue par la chaîne M6 des seize candidats de la prochaine saison qui viendront tenter de succéder à Hugo Riboulet, parmi lesquels on compte déjà quelques chouchous, dont Valentin Raffali, chef et prodige à Marseille dont nous vous avons déjà parlé en longueur.
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Arnaud Munster (20 ans)
Chef de partie au restaurant Wine in the City (Belgique)
Arnaud (Pierre Olivier/M6)
“Arnaud a hérité de la passion et du savoir-faire en cuisine de ses parents qui dirigent un restaurant longtemps étoilé en Belgique. L’évidence s’est présentée à lui et il s’est alors vu aider ses parents en cuisine dès son plus jeune âge, développant une expertise précoce. Déterminé à créer sa propre voie culinaire, Arnaud a réalisé des stages dans des établissements renommés, s’inspirant de chefs prestigieux tels que Mauro Colagreco, pour affiner son art. En participant à Top Chef, Arnaud souhaite faire découvrir sa propre identité culinaire et réaliser son rêve : ouvrir un restaurant étoilé. Il compte bien prouver au jury qu’un jeune Belge a toute sa place dans la compétition !”
Bryan Debouche (29 ans)
Chef de partie au restaurant L’Air du Temps (Belgique)
Bryan (Pierre Olivier/M6)
“Après avoir vécu dans le Jura et en Camargue, Bryan a suivi une formation en ingénierie physico-chimie, loin de la cuisine de son père. Son école étant financée par des groupes qui ne correspondaient pas à ses valeurs, Bryan a quitté sa formation initiale pour sa véritable passion : l’art culinaire. Ses connaissances en chimie se sont avérées être un atout majeur, permettant à Bryan de rapidement assimiler les techniques et subtilités de la cuisine. Il se distingue par une approche scientifique, maîtrisant habilement les techniques de fermentation tout en adoptant une vision spectaculaire de la gastronomie. Bryan se lance dans l’aventure Top Chef pour trouver son indépendance et affirmer son style culinaire. Il aspire à ouvrir son restaurant pour exprimer pleinement sa créativité débordante. Reconnu pour son style décalé, il revendique fièrement un côté ‘franchouillard’ tout en ayant une cuisine exigeante et intellectuelle. Il s’inspire de la cuisine nordique et adore le brut, l’acide, le fumé, et le torréfié.”
Clotaire Poirier (33 ans)
Sous-chef au restaurant Kadeau (Copenhague)
Clotaire (Pierre Olivier/M6)
“À l’âge de quatorze ans, Clotaire a découvert le Canada, en partant en road-trip avec ses grands-parents. L’évidence s’est alors présentée à lui : il doit trouver un métier lui permettant d’être nomade et de découvrir le monde. Il s’est alors lancé dans les études de restauration et a ensuite embrassé un parcours international à travers de très beaux restaurants en Irlande, en Australie, en Thaïlande et en Argentine. Il recherche à tout prix l’inconfort, c’est sa façon de s’émanciper. Pour Clotaire, Top Chef représente un défi et une opportunité de dévoiler sa cuisine audacieuse. Il souhaite se mesurer à d’autres chefs, partager sa créativité et être reconnu pour son travail singulier. À l’avenir, il espère ouvrir son propre restaurant, un lieu qui rassemble ses différentes techniques et inspirations au cours de ses voyages. Sa cuisine, sans frontières, se nourrit de fermentations maison, d’acidité lactique, d’algues et de condiments élaborés avec des ingrédients inhabituels tels que des fourmis ou des pommes de pin cueillies dans la nature.”
Inès Trontin (29 ans)
Cheffe propriétaire du restaurant Pêche (Paris)
Inès (Pierre Olivier/M6)
“Petite-fille d’agriculteurs et d’éleveurs, Inès a grandi avec le bien-manger comme évidence et l’amour des bons produits. Elle découvre sa passion culinaire à l’Opéra de Lyon, où elle a commencé en tant que technicienne lumière. C’est là qu’elle a amorcé son tournant gastronomique, en préparant des repas quotidiens et en assurant le catering pour tout l’opéra. Désireuse d’atteindre l’excellence, elle a frappé à la porte de grands noms comme Éric Frechon, Guy Lassausaie et Jérôme Schilling, qui deviendra son mentor. Son approche culinaire est une véritable expérience olfactive, se basant sur l’idée que l’odeur d’un plat est le premier contact avec le souvenir d’un moment précieux. Inspirée des enseignements de ses grands-parents, Inès intègre des saveurs méditerranéennes et du Moyen-Orient dans une cuisine française classique, marquant ses créations avec une identité raffinée et des goûts francs, aromatiques et herbacés. Déjà propriétaire du restaurant Pêche Paris, elle souhaite prochainement ouvrir un nouveau lieu.”
Jorick Dorignac (29 ans)
Chef exécutif du restaurant NE/SO
Jorick (Pierre Olivier/M6)
“Son parcours professionnel, jalonné d’expériences dans des restaurants étoilés renommés, reflète son désir d’excellence. Du restaurant Les Prés d’Eugénie à La Grand’Vigne, en passant par Le Pressoir d’Argent chez Gordon Ramsay, il a assimilé divers styles culinaires, convaincu que cette polyvalence est la clé de l’accomplissement. Un tournant décisif survient lorsque le Bordelais quitte sa région pour monter à Paris, où il croise la route de Guillaume Sanchez, ancien candidat de Top Chef. Ensemble, ils fondent NE/SO, où Jorick trouve un mentor qui non seulement affine sa technique et sa rigueur, mais l’encourage également à libérer son potentiel créatif. Cette rencontre transforme un homme réservé en un professionnel affirmé. Pour ses objectifs d’accomplissement, Jorick aspire à se lancer dans de grands projets, en ouvrant de nouvelles adresses culinaires, du restaurant gastronomique au bistrot.”
Lise Deveix (31 ans)
Cheffe propriétaire du restaurant Sadarnac (Paris)
Lise (Pierre Olivier/M6)
“Née et élevée dans l’atmosphère rustique d’une ferme familiale, son itinéraire singulier commence avec un brillant parcours académique en mathématiques. Cependant, c’est son expérience dans la restauration, lors d’un emploi étudiant, qui éveille sa passion pour la gastronomie et l’oriente vers le chemin qu’elle empruntera. Avec une détermination à surmonter les défis, elle ouvre le restaurant Sadarnac, situé dans le 20e arrondissement de Paris, promouvant une cuisine accessible et inclusive. En s’aventurant hors de sa zone de confort en tant que cheffe de son propre établissement, son objectif est d’aiguiser sa curiosité et d’affiner son travail au contact d’autres chefs. Sa cuisine, ancrée dans une démarche de proximité et l’excellence des produits français, est enrichie par des touches asiatiques, témoignant d’une période significative passée à Hong Kong. Ces années, en tant que cheffe étoilée en Asie, ont été un chapitre déterminant de son parcours, façonnant profondément sa cuisine.”
Marie Pacotte (27 ans)
Cheffe du restaurant Francette (Paris)
Marie (Pierre Olivier/M6)
“Marie est née et a grandi en région parisienne, dans un environnement familial loin des fourneaux, dans l’univers artistique. Alors qu’elle était plutôt destinée à des études universitaires, elle s’est prise de passion pour la cuisine, avec une volonté farouche de travailler de ses mains. Sa famille a toujours été derrière elle afin de l’encourager vers l’excellence et l’épanouissement. Pour Marie, tout a débuté sur les bancs d’une école de cuisine de renom, Ferrandi. Elle a ensuite réalisé plusieurs stages et expériences dans des restaurants étoilés. Sur sa route, elle a rencontré sa mentor, Stéphanie Moquet, qui l’a propulsée au titre de cheffe. Marie gère désormais une brigade de 20 personnes au restaurant Francette, une péniche aménagée en bas de la Tour Eiffel, dans lequel elle adopte une posture pédagogique et transmet tout son savoir à son équipe, qu’elle souhaite porter avec justesse mais surtout avec bonne humeur. Son objectif professionnel : ouvrir son propre restaurant avec son mari. Sa force réside dans son caractère solaire, son énergie et sa détermination, des qualités qui ont forgé sa volonté de transmettre et apprendre, des valeurs qu’elle chérit au sein de sa cuisine.”
Pierre Reure (27 ans)
Chef propriétaire du restaurant mobile Tambouille
Pierre (Pierre Olivier/M6)
“Pierre porte en lui l’héritage d’une famille passionnée de gastronomie. Fort de son enfance campagnarde, il a grandi dans le cocon familial où la cuisine est une tradition ancestrale. Après avoir œuvré dans le restaurant familial pendant quatre ans, Pierre était désireux de suivre sa propre voie et de s’ancrer dans une identité marquée. Il a récemment créé sa cuisine mobile dans une caravane, véritable sanctuaire de création culinaire. Son univers gastronomique privilégie des goûts francs, riches et enveloppants. Opposé aux tendances actuelles, il prône la crème Isigny, le beurre et les cuissons précises. Pour lui, l’authenticité du goût prime avant tout. Son objectif : développer son concept de restaurant mobile, l’étendre à travers la France, voire envisager une évolution vers un établissement fixe. Pierre aspire à prouver sa valeur et à s’établir en tant que chef indépendant. Top Chef représente pour lui un défi où il pourra révéler son talent brut, loin des tendances modernes. Son franc-parler, sa détermination et son attachement au terroir en font un compétiteur redoutable.”
Pierre-Pascal Clément (31 ans)
Sous-chef du restaurant Maison Manesse (Suisse)
Pierre-Pascal (Pierre Olivier/M6)
“Pierre-Pascal a hérité de l’amour pour la cuisine de son oncle, restaurateur dans le canton de Fribourg en Suisse. Sa passion s’est éveillée lors d’un stage en fin de scolarité obligatoire, lui dévoilant la gastronomie comme une évidence. Dès ses débuts, il a visé l’excellence, accumulant des expériences dans des restaurants étoilés. Son parcours l’a mené au poste de chef, côtoyant des personnes renommées dans le milieu, telles que Pierre Gagnaire. Sa passion pour la cuisine est telle qu’il a tatoué son parcours culinaire sur le dos. De l’élégance vers une simplicité décomplexée : la cuisine de Pierre-Pascal a évolué au fil du temps. Elle a été profondément marquée par ses années vécues à Berlin et son parcours à la Maison Manesse à Zurich. Ces expériences l’ont incité à bousculer les limites de la haute gastronomie et à adopter une approche décontractée, mêlant créativité et technicité. En outre, sa cuisine met principalement en valeur le végétal et les produits bruts de caractère. Pour Pierre-Pascal, il est essentiel que ses plats, caractérisés par une esthétique pure et dominée, surprennent par des saveurs précises, inattendues mais justes à chaque dégustation.”
Shirley Duthilleux (24 ans)
Sous-cheffe dans un palace parisien
Shirley (Pierre Olivier/M6)
“Née en Angleterre et élevée à Paris depuis l’âge de 3 ans, Shirley a la restauration dans les gènes. Fille d’un papa cuisinier et d’une maman serveuse, elle a grandi baignée dans l’atmosphère enivrante des saveurs et de la convivialité des restaurants. Dès l’âge de 6 ans, elle faisait déjà des gâteaux toute seule pour l’anniversaire de sa mère. Convaincue d’avoir trouvé sa voie, elle a débuté son apprentissage à 14 ans. Aujourd’hui sous-cheffe du Ritz à seulement 24 ans, Shirley affiche un palmarès prestigieux avec des passages remarqués à La Table de L’Espadon et au Cheval Blanc. Elle souhaite, au fil du temps, se positionner comme un modèle pour les jeunes filles, comme Hélène Darroze, Anne-Sophie Pic et Stéphanie Le Quellec l’ont été pour elle. Championne de tir à l’arc à quatre reprises, elle démontre sa détermination à aller jusqu’au bout, défiant les stéréotypes qui pourraient la sous-estimer. Sa cuisine reflète son esprit audacieux, mariant des ingrédients improbables pour surprendre les papilles. Shirley bouscule les codes des palaces traditionnels, en jouant avec le sucré-salé et en réinventant les desserts avec des légumes et protéines animales. Ses plats sont vecteurs d’émotions, elle y apporte une touche personnelle pour transmettre le sourire et partager sa bonne humeur.”
Thibault Marchand (21 ans)
Chef du restaurant Le Zingue (Suisse)
Thibault (Pierre Olivier/M6)
“Né à Drancy, Thibault a forgé son chemin vers la cuisine étoilée à travers une vie marquée par la détermination. Élevé dans une famille modeste, les sorties au restaurant étaient rares, mais l’amour de la cuisine était au cœur de leur foyer. Sa mère, qui cuisinait à ses heures perdues, a inspiré son goût pour les saveurs et les plaisirs culinaires. Après des débuts incertains à l’école, Thibault découvre sa passion lors de stages en cuisine, où son talent émerge. Son parcours étoilé débute, avec une soif constante de compétition et de perfectionnement. Pour Thibault, chaque défi, qu’il s’agisse d’un jeu de fléchettes ou d’une compétition à la console, doit être remporté. Dans sa cuisine, Thibault incarne l’alliance parfaite entre la technique gastro et l’accessibilité populaire. Ses plats, fins et épurés, se caractérisent par une technicité rare et des saveurs audacieuses. Adepte des dressages élégants, il ajoute une touche de couleurs à chacune de ses assiettes, parfois influencées par la cuisine japonaise. À l’avenir, Thibault rêve d’obtenir une étoile, que ce soit dans son propre restaurant ou ailleurs.”
Valentin Raffali (27 ans)
Chef du restaurant Livingston (Marseille)
Valentin (Pierre Olivier/M6)
“Valentin, c’est l’énergie brute d’une vie marquée par la détermination. Dès l’âge de 3 ans, il affronte un cancer à l’œil droit, forgeant une force intérieure exceptionnelle en développant tous ses sens. Son parcours atypique le conduit à l’apprentissage à ‘l’ancienne’ aux côtés du chef Serge Chenet, MOF, puis à explorer des étoilés. Aujourd’hui, il tient son propre sanctuaire culinaire, le Livingston à Marseille, où il cuisine librement. Pour lui, la cuisine occupe tout, une obsession de l’amour qu’il offre sans retenue, quitte à se brûler. La spontanéité, moteur dans la vie de Valentin, l’a poussé à participer à l’aventure Top Chef, dans laquelle il espère être stimulé par les défis, afin de toujours sortir de sa zone de confort. Valentin, passionné intense, partage des plats qui lui ressemblent avec une vision culinaire audacieuse et vive, aux tonalités parfois agressives. Sa cuisine est un univers libre et créatif, bousculant les papilles avec des associations audacieuses et des saveurs saturées. Pour Valentin, la cuisine est bien plus qu’une simple pratique culinaire ; c’est un véritable moyen d’expression artistique où il peut fusionner ses passions pour l’art, la culture et la musique et donner libre cours à son imagination et offrir une expérience unique et immersive.”
Anicée Lacrouts (19 ans)
Commis de cuisine au restaurant La Table de Yoann Conte (Annecy)
Anicée (Pierre Olivier/M6)
“Anicée a grandi en Gironde avec sa famille, où elle a suivi un bac professionnel de cuisine. Malgré son jeune âge, Anicée a déjà une âme de compétitrice et un mental de gagnante. En 2022, elle a remporté le titre si convoité de Meilleur Apprenti de France, qui lui a été remis par Philippe Etchebest en personne. Et ce n’est pas le dernier titre que le chef lui a décerné. En effet, la jeune compétitrice a remporté en 2023 le concours d’Objectif Top Chef, tout en menant de front son baccalauréat professionnel de cuisine. C’est d’ailleurs un réel coup de cœur humain et professionnel qui frappe le chef Yoann Conte et la jeune gagnante : ‘Il m’a motivée, il m’a donné confiance en moi.’ La confiance est telle que le chef a proposé à Anicée de rejoindre ses équipes dans son restaurant gastronomique La Table à Annecy. Elle relève ce nouveau défi sans hésiter, puisqu’elle est habituée aux hauts standards des restaurants prestigieux, avec une première expérience au restaurant doublement étoilé le Sur Mesure de Thierry Marx, au Mandarin Oriental. Encore en quête de son identité culinaire, elle espère pouvoir puiser son inspiration auprès des autres cuisiniers et créer des liens uniques qui la pousseront à devenir une meilleure version d’elle-même.”
Pavel Hug (26 ans)
Chef en restauration événementielle pour Treize Boucan (Marseille)
Pavel (Pierre Olivier/M6)
“Pour Pavel, la cuisine n’était pas réellement une passion, elle s’est présentée à lui comme une nécessité. Plutôt mauvais sur les bancs de l’école, l’adolescent rebelle qu’il était ne savait pas réellement vers quelle voie se diriger. C’est à travers un CAP cuisine que la flamme est doucement apparue. Finalement, il a côtoyé des palaces et restaurants prestigieux et a eu la chance d’acquérir la rigueur et un poil de technique des cuisines étoilées. Pavel se lance aujourd’hui dans le concours Top Chef pour tenter une expérience où la compétition est accrue, afin d’évaluer son niveau et de partager une expérience unique aux côtés de cuisiniers élitistes. Tête brûlée au fort tempérament, Pavel use de son humour parfois sarcastique, tout en étant muni d’une détermination sans faille. Désormais, Pavel s’est éloigné des cuisines de palace pour incarner la jeune rébellion culinaire. Il explore des saveurs méditerranéennes, mêlant champignons, viandes, produits de la mer, tout en élaborant des accords mets-cocktails, avec une prédilection pour les agrumes, les vinaigres et les épices. Son objectif professionnel : ouvrir plusieurs restaurants et concepts en France. Il est d’ailleurs sur le point d’ouvrir un nouveau restaurant, Vinaigre, sur l’île de Port-Cros en région PACA.”
Pol-Henri Dieu (25 ans)
Chef consultant pour Yves Mattagne
Pol-Henri (Pierre Olivier/M6)
“Pol-Henri a trouvé dans la cuisine une vocation, lui permettant d’échapper à l’étau de l’école. Testant divers métiers manuels, la cuisine l’a captivé dès le départ, pour rapidement devenir son refuge. Sa formation de l’excellence en Belgique lui a permis de se former à la cuisine pour accéder à des restaurants étoilés. À seulement 25 ans, il est devenu le chef consultant d’Yves Mattagne. Sa polyvalence l’amène à exceller aussi bien dans la street-food que dans la haute gastronomie. Pour réaliser ses plats, il s’inspire de la saisonnalité pour respecter au mieux les produits, notamment ceux de la terre. Fier Belge au tempérament débordant, Pol-Henri vient dans Top Chef pour représenter sa patrie et conquérir le titre du premier Belge à remporter la compétition. Sa force réside dans sa répartie, son accent et son énergie contagieuse. Son enjeu : trouver sa propre patte culinaire, affiner ses marqueurs, et faire de Top Chef le terrain idéal pour exprimer pleinement sa créativité. Naviguant entre la street-food et la gastronomie étoilée, influencé par l’Asie grâce à Yves Mattagne, il aspire à ouvrir son propre restaurant.”
Quentin Maufrais (24 ans)
Chef adjoint au restaurant Le Chiberta de Guy Savoy
Quentin (Pierre Olivier/M6)
“Quentin a grandi au Mans, dans une famille dans laquelle, depuis plusieurs générations, on fait de la bonne cuisine et on éduque les enfants aux bons produits et à l’amour du goût. Il ne débute la cuisine qu’à l’âge de 18 ans, cependant, son retard dans l’univers culinaire n’a pas freiné son ascension. Il a rapidement gravi les échelons chez Guy Savoy, de commis à chef adjoint en deux ans. ‘Je me suis dit qu’ayant commencé la cuisine plutôt tard, je devais m’investir deux fois plus que les autres pour réussir. J’ai toujours voulu plus, chaque jour.’ Amoureux de la France et passionné d’histoire, Quentin mêle sa créativité à la rigueur des classiques de la gastronomie française. Sous la tutelle de Guy Savoy et Irwin Durand, il souhaite affirmer sa cuisine et tester ses idées débordantes dans le cadre compétitif de Top Chef. Grand compétiteur, Quentin veut prouver à ses proches qu’il a eu raison de se dévouer à la gastronomie. Sa cuisine, moderne et audacieuse, déstructure les classiques français pour les rendre ‘sexy’. Il aime jouer avec les textures, les jus qui ont du caractère, et transforme même les épluchures en poudres savoureuses pour limiter les déchets. Son objectif ultime : la chasse aux étoiles !”
Top Chef, tous les mercredis à 21 h 10, à partir du 13 mars sur M6.