En quelques heures, le destin de la gauche, et peut-être du scrutin, à l’approche des élections législatives surprises annoncées par Emmanuel Macron a complètement changé. Une union que tout le monde pensait, ou craignait, comme impossible a finalement eu lieu, au siège des Verts, entre les leaders du Parti socialiste, du Parti communiste français, de la France insoumise et d’EELV. Et si l’on a forcément envie de croire à une union de sens et d’engagement, une partie de notre esprit ne peut pas s’empêcher de penser que la pizza a quelque chose à voir avec cet accord politique symbolique et historique entre les différents partis de gauche.
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Si cette théorie peut sembler futile et peut ressembler à une plaisanterie, il s’avère que la place de la pizza dans les réunions de crise est une science bien plus précise qu’il n’y paraît. Si l’on en croit la loi très sérieuse du “Pizza Meter”, la présence de pizzas lors de réunions pourrait être annonciatrice d’une crise à venir, ou d’un événement politique majeur. Selon cette théorie, plus on dénombrerait de commandes de pizzas, plus l’événement à venir, ou à prédire, serait important et marquant.
Ainsi, avec dix pizzas, apportées à la réunion des différents leaders des partis de gauche, à 21 h 30, il fallait donc s’attendre à un petit séisme… Et ça n’a pas manqué.
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Selon Libération, les pizzas auraient été commandées à la pizzeria Pergola d’Italia, désormais connue sous le nom de Trattoria Vittoria. Quant à la nature de la commande, “la dizaine de cartons commandés par les partis de gauche la veille étaient variés : une végétarienne, une reine, une au pepperoni…”.
Nous avons contacté mardi matin l’entourage de Pierre Lacaze pour obtenir davantage d’informations sur la nature de la commande de pizzas. Nous vous tiendrons au courant dès que nous en saurons davantage.
