Chaque semaine, Konbini vous décrypte une pièce mode ou on répond à une question essentielle. Pour commencer, on part sur le hoodie ou sweat à capuche en français. Cette pièce incontournable du vestiaire mixte est aussi celle qui nous accompagne pour une petite session de sport, pour une journée dite “casual” ou qui nous sauve dans les moments les plus vulnérables de notre existence.
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#1. La petite histoire : d’où vient le hoodie ?
États-Unis (sans déc), 1930. Le sweat à capuche, dit “hoodie”, est porté par les ouvriers des entrepôts frigorifiques de New York et deviendra ensuite la pièce favorite des boxeurs, comme Mohamed Ali. Plus tard, les universités se l’approprient pour y faire figurer leur logo d’établissement comme signe de ralliement des étudiants. Dans les années 1970, le mouvement hip-hop s’en empare et le sweat à capuche devient le symbole des gangs. 1990, l’année qui a clairement marqué un tournant dans la mode et conditionné nos vestiaires d’aujourd’hui, fera rayonner le hoodie dans la pop culture, notamment chez Ralph Lauren et Tommy Hilfiger. Outre le vêtement de sport, le hoodie est une pièce moderne et versatile qui s’adapte à toutes les situations et époques, mais une question reste…
#2. La grande question : faut-il ou ne pas faire le nœud de sa capuche ?
ALORS. Il s’avère que les lacets de la capuche ont commencé à être noués par les skateurs, afin que les embouts ne viennent pas rebondir sur leur visage lors de ollies et autres figures spectaculaires. Depuis, on voit des hoodies noués, d’autres non… Mais que devons-nous faire de ces lacets en tant que Moldus ?
Si cette question d’utilité publique ne te concerne, pas tu peux directement passer au point 3. En revanche, si tu es plutôt manuel et créatif (ou ancien skateur), voici quelques tips pour nouer tes lacets de hoodies :
#3. 3 hoodies dans notre radar
Russell Athletic ©
Stüssy ©
Jacquemus ©
Faites vos choix !
