Il a suffi que certains croisent la reine de France dans un vol Paris-New York, à quelques heures du Met Gala, pour répandre la rumeur de sa présence à la soirée mode de l’année. En même temps, si quelqu’un devait apporter un peu plus de piquant à cette soirée, c’était bien elle, et en Balmain, s’il vous plaît, chose qu’on aurait pu voir venir quand elle s’est pointée cet hiver dans un look de jolie madame, noir et blanc, au dernier défilé de la maison.
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Mais pour hier, le mood, c’était rise and shine. Une robe qui semble sculptée, étincelante grâce au nombre incalculable de cristaux, dans une teinte argentée (qui nécessite presque le port de lunettes de soleil tellement le risque d’éblouissement est réel) et avec de petites fleurs ici et là parce qu’après tout, on est dans un jardin.
Ce qu’on retient aussi, c’est ce décolleté qui nous plonge dans tout sauf l’ennui. Car si certains critiquent sa poitrine “trop compressée”, ici, on a envie de célébrer le fait que tous les seins ont le droit à leur moment de gloire. Et ceux d’Aya, hier, criaient “Où est mon trône ? Je dois gouverner”.
Que dire aussi de cette fente qui remonte jusqu’à l’aine, si ce n’est qu’elle va de pair avec la vue du balcon ? Ah, et j’allais oublier : ces bretelles ajourées serties de sequins. Seraient-ce les tiges des fleurs posées plus bas qui s’entremêlent et permettent à ce tout de tenir ensemble ?
Puis, s’il manquait encore du brillant, Bulgari était là pour remédier à ça avec une paire de boucles d’oreilles et une manchette judicieusement choisies qui allaient parfaitement avec la paire d’Amina Muaddi argentée, parfaitement lacée à ses chevilles. En clair, si Olivier Rousteing était éreinté avant le début du bal, c’est parce que le taf a été fait. Notre star nationale mais aussi internationale restera inoubliable pour sa première apparition sur le red (ou green) carpet du Met.