Attendez, Rosalía a vraiment fêté son anniversaire chez un glacier à Paris ?

Il y a quelques heures, Rosalía, l’une des artistes les plus importantes et influentes du moment, fêtait ses 31 ans. L’âge de raison, s’il en est, qu’elle a célébré en grande pompe, dans la capitale parisienne, avec un paquet d’amis — Jacquemus, Kylie Jenner, Timothée Chalamet ou encore Lisa de Blackpink, selon certains fans qui ont été nombreux à filmer les festivités depuis le trottoir.

Mais le plus étonnant dans tout ça n’est pas tant la soirée privée que s’est accordée Rosalía avec son entourage, mais l’endroit où elle a décidé de faire halte dans sa soirée : Folderol, un glacier devenu le plus cool et hype de la capitale, qui fait également office de cave à vin. Dans l’établissement, puis à l’extérieur étant donné l’étroitesse des lieux, Rosalía a fini par venir souffler ses bougies à même le trottoir, à quelques pas de la place de la République.

Folderol a été monté par Robert Compagnon et Jessica Yang, le couple à la tête du discret restaurant étoilé Le Rigmarole. Ni vraiment un glacier, ni vraiment une cave à vin, l’endroit a été pensé comme un lieu hybride, unique en son genre, attirant depuis son ouverture les curieux et les puristes. Sauf que depuis quelques mois et même années, le spot est devenu l’attraction sucrée préférée des touristes américains et des influenceurs en tout genre, et notamment durant la Fashion Week. Même le New York Times en parle, c’est dire.

Malgré son succès inattendu et quelque peu encombrant parfois – la file d’attente s’allonge de jour en jour et l’adresse a dû prendre des mesures drastiques pour gérer les flux de personnes et les pics de fréquentation trop importants –, le couple derrière Folderol continue d’exceller dans la recherche et l’expérimentation de nouvelles saveurs. Car, à l’image de Glazed, l’ADN du lieu est ici de proposer des goûts inédits (pomélo-jasmin), surprenants (pastèque épicée, parmesan…), ou simplement nostalgiques (vanille, fraise-framboise…).

Ici, rien à voir avec les glaces à l’italienne, “soft serve” ou autres sorbets. Le couple, largement influencé par leurs origines américaines respectives, fait ici appel à la technique du hard packing, une technique de congélation qui permet de concentrer les molécules pendant plusieurs heures à -30°.