Première nouvelle : Arturo Vidal joue encore au foot. Il fallait le savoir. Transféré pendant le mercato hivernal, de l’Athletico Paranaense (club brésilien) à Colo-Colo, son club formateur, Arturo Vidal a été accueilli comment un roi pour son retour au pays. Mais vraiment comme un roi. Mi-tradi, mi-moderne, mi-monarchie absolue, mi-monarchie constitutionnelle. Arturo Vidal a eu le droit au défilé à cheval, couronne sur la tête, épée à la main. Là, il y a du respect pour les ancêtres. Par contre… il est arrivé en hélico :
À voir aussi sur Konbini
Chargement du twitt...
Bon, on rigole, mais Colo-Colo, ce n’est pas n’importe quel club. En quelques chiffres : 53 trophées, dont 33 championnats du Chili (c’est même le club le plus titré) et une Copa Libertadores. Est-ce qu’on va se mettre à regarder le championnat chilien pour autant ? Non. Mais au moins, grâce à Arturo Vidal, on le sait. Respect Colo-Colo et plein de bonnes choses avec ce bon vieux Arturo.