C’était l’apothéose de la double conférence Xbox et Bethesda au Summer Games Fest hier soir. Starfield, longtemps surnommé le “Skyrim de l’Espace” par le charismatique patron des studios Bethesda Todd Howard, s’est enfin dévoilé en long, large et en trailer.
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Après une petite annonce de teasing dans la conférence Xbox, la console verte a laissé la place au Starfield Direct, 45 minutes de révélations sur les différentes possibilités de gameplay. Au programme, une exploration de l’immense open world que Starfield aura à proposer dès le 6 septembre prochain.
Car c’est bien l’immensité de l’univers explorable qui nous est proposée dans Starfield qui a d’ores et déjà annoncé plus de 1 000 mondes disponibles à l’exploration : des planètes aux biomes radicalement différents, de la lune minière à la géante gazeuse à anneaux, en passant par des planètes où la vie a fait son chemin. Les 45 minutes de présentation se divisent en une dizaine de chapitres différents abordant un large éventail de sujets.
Les promesses de Bethesda sont claires : que chacun·e puisse vivre sa propre aventure. À l’heure où la liberté offerte par Tears of the Kingdom a encore repoussé les limites, la tâche sera ardue mais la promesse est excitante : de la création de personnages très détaillée aux différentes “voies” scénaristiques empruntables (piraterie, contrebande, justice, etc.), en passant par les styles de combat très variés (corps à corps, furtif, bourrin au jetpack, etc.) et bien sûr l’immensité de l’espace et des planètes arpentables. Les ambitions pour Starfield sont bien présentes. C’est sans compter la présence de nombreux compagnons de voyage, la personnalisation maximum de votre vaisseau, de votre équipage et de vos armes. En bref, il y en aura pour tout le monde.
Que ce soit du côté de Todd Howard ou de Phil Spencer, le patron de Xbox, qui se régale d’avance de l’exclusivité sur ses consoles, l’enthousiasme est présent. Seule ombre au tableau : après la présentation, Todd Howard a admis que le jeu, aussi beau soit-il, ne serait pas en 60 images par seconde sur consoles (Xbox Series X/S donc), il explique avoir préféré bloquer à 30 fps pour proposer l’expérience la plus fluide et stable.
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Ce dernier léger point noir a quelque peu décontenancé certain·e·s fans, mais beaucoup semblent de toute façon se diriger vers la version PC.