Un photographe attaque Jennifer Lopez en justice pour avoir posté une de ses photos sur Instagram

Un photographe attaque Jennifer Lopez en justice pour avoir posté une de ses photos sur Instagram

Image :

NEW YORK, NY – AUGUST 02: Jennifer Lopez arrives to NBC Studios at Rockefeller Center on August 2, 2018 in New York City. (Photo by James Devaney/GC Images)

photo de profil

Par Konbini arts

Publié le , modifié le

Pas de chance pour J.Lo.

À voir aussi sur Konbini

© James Devaney/GC Images/Getty Images

Alors qu’elle est en ce moment à l’affiche du film Seconde Chance et qu’elle est toujours “Jenny from the block” à nos yeux, la chanteuse américaine Jennifer Lopez s’est récemment retrouvée dans de beaux draps, tout pile durant la période des fêtes de fin d’année. L’origine de son malheur ? Un banal post sur Instagram.

En effet, en juin dernier, J.Lo a posté dans une story une photo d’elle prise par un certain Michael Stewart, rapporte le site The Blast. Elle a ainsi utilisé ce cliché sans l’autorisation du photographe et a donc violé le code de propriété intellectuelle : même si cette image la représente, elle n’en détient pas les droits et elle ne lui appartient pas. La paternité de l’œuvre revient par définition au photographe.

Le photographe Michael Stewart a donc décidé de la poursuivre en justice en la nommant au côté de sa société de production Nuyorican Productions, leur réclamant la coquette somme de 150 000 dollars (soit environ 131 516 euros) de dommages et intérêts. La photo montrait la pop star marchant dans les rues de New York, et était légendée : “Aujourd’hui était un bon jour !!” Le Daily Mail avait par ailleurs acheté les droits d’utilisation de l’image et l’avait publiée sur son site le 29 juin 2018.

La prochaine fois, J.Lo devra y réfléchir à deux fois avant de poster une story. La chanteuse rejoint désormais “le club des chanteur·se·s poursuivi·e·s par des photographes à cause d’une photo d’eux·elles postée sur les réseaux”, à l’instar de Bruno Mars, l’an dernier, et de son litige avec la photographe Catherine McGann.