Le Mans 66 est un des meilleurs films de l’année, de loin. Mais ce n’est en rien une surprise. Car derrière l’histoire dingue, et le casting parfait (le combo Matt Damon et Christian Bale est fou), se cache un des réalisateurs les plus brillants de sa génération : James Mangold.
À voir aussi sur Konbini
Celui qui a brillé avec Copland et Une Vie interrompue (qui est allé aux Oscars tout de même), avant de signer le génial biopic sur Johnny Cash avec Joaquin Phœnix et Reese Witherspoon, Walk the Line, puis le western 3h10 pour Yuma avec Russell Crowe et Christian Bale, et enfin les deux derniers Wolverine (oui, dont l’excellent Logan), n’a plus rien à prouver.
Emmenez-le dans un Vidéo Club et vous comprendrez que non seulement la cinéphilie du monsieur a de quoi rendre jaloux, mais surtout que l’homme est passionné — et passionnant.
Voici la liste des films que cite l’artiste :
- Un Condamné à mort, Robert Bresson – 1956
- Playtime, Jacques Tati – 1967
- Tirez sur le pianiste, François Truffaut – 1960
- Duel, Steven Spielberg – 1973
- Le Mans, Lee H. Katzin – 1971
- Conversation secrète, Francis Ford Coppola – 1974
- Taking Off, Milos Forman – 1971
- Ragtime, Milos Forman – 1971
- Hair, Milos Forman – 1979
- Dracula, Francis Ford Coppola – 1992
- Le Grand chantage, Alexander Mackendrick – 1957
- Boogie Nights, Paul Thomas Anderson – 1997
- Le Narcisse noir, Michael Powell – 1949
- Un Cœur pris au piège, Preston Sturges – 1941
- Les Voyages de Sullivan, Preston Sturges – 1941
- Mandy, Alexander Mackendrick – 1952
- La Chevauchée fantastique, John Ford – 1939
- L’Homme des vallées perdues, George Stevens – 1953
- Pour une poignée de dollars, Sergio Leone – 1964
- Impitoyable, Clint Eastwood – 1992
- Vice, Adam McKay – 2019
- Voyage à Tokyo, Yasujiro Ozu – 1953
- Herbes flottantes, Yasujiro Ozu – 1953
- La Femme des sables, Yoshi Teshigahara – 1964