Un tournage à la lumière naturelle
Comme le rapporte Première, c’est en compagnie de son chef opérateur Emmanuel Lubezki que le réalisateur mexicain s’est lancé dans un défi assez inhabituel : tourner l’intégralité du film en extérieur, au Canada. Cela pour plusieurs raisons.
Tout d’abord, pour retranscrire le mieux possible le décor dans lequel s’est déroulée l’histoire, dans une nature préservée, mais aussi pour utiliser la lumière naturelle. Il faut donc une organisation militaire pour pouvoir capter la luminosité avant qu’elle ne change, et tourner que quelques heures par jours.
Mais le réalisateur aime prendre des risques, comme il l’explique à Entertainment Weekly :
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C’est très expérimental mais je suis devenu accro à ce type de projet “ou ça passe ou ça casse”. Avec un tel défi, soit on se plante complètement, soit on a une surprise magnifique. On est tous à fond pour y arriver.