Shepard Fairey en vrai
Julian Marshall : “Shepard m’a donné carte blanche”
J’ai travaillé pour Shepard en 2009, voilà pour les premiers contacts. Quelques années plus tard, alors que je réfléchissais à une idée pour mon projet de fin d’étude à la Rhode Island School of Design [la même école que le street-artist, ndlr], il m’a semblé évident de faire un film autour de son parcours car personne ne l’avait jamais vraiment fait.
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À propos du processus créatif et de l’implication d’Obey, celui-ci répond :
Shepard voulait me donner carte blanche pour ce qui est de la création. Il a soutenu le film en donnant des tableaux et des stickers. J’ai ensuite travaillé en collaboration avec lui à propos de l’histoire. Cet épisode avec Cianci a une grande importance : elle a médiatisé son travail à plus grande échelle et a donné une signification à son travail alors que les stickers étaient déjà partout en ville. Quant à la forme, il m’a paru plus opportun de faire un film “narratif” : c’est plus intéressant et plus valorisant pour un réalisateur.
Sur les suites à donner à ce premier essai, Julian Marshall conclut :
Faire un long métrage ? J’espère oui.
À noter : le film est diffusé intégralement sur Internet (et par ici), et a été entièrement financé sur Kickstarter
Obey the Giant
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