“Le harcèlement de rue est en immense majorité le fait de ressortissants de l’immigration qui importent une culture qui est une culture de non-respect des femmes, de soumission des femmes et même l’expression, pour beaucoup, d’un mépris à l’égard de Françaises.”
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S’agissant de la liberté d’importuner directement mis en cause dans la tribune du Monde, Marine Le Pen semble avoir un avis beaucoup moins tranché, estimant qu’il y avait “des choses justes d’un côté comme de l’autre”.
“Le harcèlement est une réalité, surtout lorsqu’il s’exprime de la part de gens qui ont un pouvoir, notamment hiérarchique, mais c’est à la justice de s’occuper de cela”, a déclaré Marine Le Pen, qui s’est également dit “frappée par ces procès médiatiques qui laissent des coupables non condamnés”.
Ce n’est pas la première fois que la présidente du Front national se hasarde à des déclarations que l’on pourrait qualifier de xénophobes. L’année dernière, elle avait d’ailleurs semblé particulièrement gênée lorsque la journaliste américaine de CNN, Christiane Amanpour, lui avait rappelé l’une de ses déclarations sur le thème de l’immigration.
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