La présence de Trump pour le défilé du 14 juillet serait exceptionnelle pour un président américain. A ma connaissance, seul Bush en 1989.
— thomas snegaroff (@thomassnegaroff) 27 juin 2017
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Si certains médias n’hésitent pas à décrire cette invitation comme un coup d’éclat, quelques semaines seulement après la venue de Vladimir Poutine à Versailles, des voix discordantes émergent : “Monsieur Trump n’est pas le bienvenu à la fête du 14-Juillet, a assené Jean-Luc Mélenchon sur Europe 1. La fête du 14-Juillet est celle de la liberté des Français. Monsieur Trump représente l’Otan et l’asservissement de notre nation à une coalition internationale dans laquelle elle ne joue aucun rôle.” Partout où il passe, le président américain sème la zizanie. Au Royaume-Uni, sa venue en janvier avait provoqué une vague de contestations inédite : une pétition adressée à la Première ministre Theresa May lui demandant d’annuler la visite avait ainsi été signée par 1,8 million d’internautes en colère, et des manifestations avaient été organisées dans de nombreuses villes britanniques.