À Londres, un brunch éphémère célèbre l’avocat sous toutes ses formes

À Londres, un brunch éphémère célèbre l’avocat sous toutes ses formes

Un brunch éphémère composé de cinq plats à base d’avocat va être proposé dans un restaurant londonien. Gaspacho d’avocat, avocat frit et margarita à l’avocat sont, entre autres, au menu. 

À voir aussi sur Konbini

Alors que vous pensiez que la mode de l’avocat s’essoufflait, un restaurant londonien va bientôt proposer un brunch éphémère consacré à ce fruit.

D’après le site qui organise cet évènement, l’Avo-Brunch Pop Up est né car sa créatrice, Meredith O’Shaughnessy, avait le sentiment qu’il fallait “célébrer l’excellence de notre nourriture préférée”.

Ce repas éphémère sera servi dans le restaurant Printworks Kitchen, situé dans le quartier branché de Shoreditch. Il sera composé de cinq plats tous concoctés à base de votre fruit préféré et il sera même arrosé d’un cocktail à l’avocat.

Il existe, sur demande, des options pour les végétariens et pour ceux qui sont allergiques à certains ingrédients. La seule condition, c’est qu’il faut aimer l’avocat… Comme si des gens n’aimaient pas ça. Voici le menu :

  • Entrée : gazpacho d’avocat, de pastèque et huile au basilic
  • Premier plat : avocat, crabe et risotto d’orge perlée à la noix de coco avec pousses de pois
  • Second plat : poulet à la sauce harissa avec salsa d’avocat, raita à l’avocat et avocat frit dans du quinoa croustillant
  • Premier dessert : glace à l’avocat et amandes pralinées
  • Deuxième dessert : mousse au chocolat noir et à l’avocat avec ses macarons à l’avocat
  • Cocktail : margarita à l’avocat

Le restaurant ne proposera ce repas que deux jours, le 10 avril et le 8 mai. Donc, si vous êtes de passage à Londres et que vous vous couperiez en quatre pour un avocat, vous pouvez réserver des places sur le site designmynight.com. Le repas coûte 55 livres par personne (68 euros), ce qui est cher, mais il inclut cinq plats et un cocktail. Oh, et les chiens sont les bienvenus aussi.

 Traduit de l’anglais par Hélaine Lefrançois