Politicians never did sh-t for me / except lie to me, distort history.
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Et il poursuit, clamant qu’aller à Cuba n’est pas un crime :
They wanna give me jail time and a fine — Fine, let me commit a real crime.
Quant à sa détermination à vouloir créer une nouvelle agence sportive – en vendant des parts minoritaires dans les Brooklyn Nets pour financer son projet, Jay-Z explique :
I woulda moved the Nets to Brooklyn for free
Except I made millions off you f–king dweebs
I still own the building, I’m still keeping my seats
You buy that bullsh-t, you better keep your receipts.
Jay-Z : un rappeur politisé
Derrière cette “Open Letter”, Swizz Beats et Timbaland sont à la production. On entend d’ailleurs Swizz, comme le souligne le Huffigton Post, avec un “right!” puis un “God damn it !”. Pas d’interview ou de conférence de presse : Jay-Z semble préférer la musique pour répondre à ses détracteurs.
Il faut aussi dire que le rappeur de New York et Beyoncé sont aujourd’hui connotés politiquement. En 2012, ils sont apparus comme les premiers supporters de l’industrie musicale aux côtés de Barack Obama. Et même Beyoncé donné de la voix (en playback) lors de la cérémonie d’investiture du deuxième mandat du président. Pas étonnnant donc que le couple subisse aujourd’hui des critiques au-delà du simple champ culturel et que la politique s’en mêle.
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