Fiscal Kombat, le jeu vidéo de Jean-Luc Mélenchon

Fiscal Kombat, le jeu vidéo de Jean-Luc Mélenchon

Ce vendredi 7 avril, c’est la sortie de Fiscal Kombat, un jeu vidéo en ligne où Jean-Luc Mélenchon affronte les “oligarques”, Pierre Gattaz, Liliane Bettencourt et Jérôme Cahuzac.

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Lâchez la Nintendo Switch, ce vendredi 7 avril au soir, sort Fiscal Kombat, le jeu vidéo en ligne de Jean-Luc Mélenchon. Le candidat à l’élection présidentielle nous avait déjà surpris avec sa chaîne YouTube qui réunit plus de 266 000 abonnés, ses live Facebook et surtout son hologramme. Il confirme une fois de plus qu’il est un candidat à l’aise avec le numérique et crée ainsi un outil de communication politique inédit.

Le candidat de la France insoumise avait déjà exprimé son intérêt pour les jeux vidéo, en annonçant le 15 mars dernier vouloir créer un centre national du jeu vidéo. Son propre jeu vidéo, nommé Fiscal Kombat en référence au jeu Mortal Kombat, réputé violent et sanglant, a un objectif précis : recueillir 279 milliards d’euros, soit le budget nécessaire au candidat une fois au pouvoir.

Musique gangsta, remix de Cahuzac qui dit qu’il n’a pas de compte à l’étranger, rap de Mélenchon, et personnage à son effigie aux allures de Mario, les développeurs et les graphistes membres du Discours Insoumis, une plateforme collaborative citoyenne visant à promouvoir les idées de Jean-Luc Mélenchon, n’ont pas fait les choses à moitié.

“On les capture, on les secoue et ça fait tomber des euros”

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Concrètement, comment ça marche Fiscal Kombat ? Le candidat de la France insoumise explique les règles du jeu dans sa “Revue de la Semaine n°23“. “Le héros du jeu, bah c’est moi”, dit humblement le candidat. “On” (c’est-à-dire vous et Jean-Luc Mélenchon qui ne formez alors qu’un), vous vous battez contre “des oligarques”, comme Pierre Gattaz, Liliane Bettencourt, Jérôme Cahuzac, “les gens riches quoi”, résume Mélenchon.

“On les capture, on les secoue et ça fait tomber des euros”, ajoute-t-il, on peut ensuite mettre l’argent dans un “pot commun” qui servira à financer la politique du candidat.“Essayez, vous allez bien vous marrer”, conclut Jean-Luc Mélenchon.