On a sûrement affaire au plus grand collectionneur de consoles de jeux vidéo de l’histoire. Un Français se faisant appeler Kariaure – ou Kaori Trente sur Instagram – a passé vingt-cinq ans à rechercher tous les modèles de toutes les consoles ayant jamais existé. En tout, il en a accumulé plus de 2 000, rapporte Gameblog. Et aujourd’hui, cette immense collection pourrait devenir la vôtre.
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Car Kaori souhaite aujourd’hui s’en séparer, pour en faire profiter un gros collectionneur ou des musées. Le 18 août, il a donc mis en vente son incroyable lot de milliers de consoles sur eBay, comprenant “tous les modèles, toutes les couleurs, les versions, les éditions limitées commerciales, les éditions limitées sous réservation, les éditions que l’on ne peut gagner que sous forme de concours, les publicitaires, les packs, les bundles, les éditions européennes/jap/USA”, précise le vendeur sur eBay.
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Ironie du sort : la liste complète des consoles est tellement longue qu’il ne peut toutes les indiquer sur le site. “Je ne peux pas mettre toute la liste, le site ne permet pas…”, avertit-il à la fin de la description.
Pour acquérir cette incroyable collection, il faut débourser la modique somme de… 984 000 euros. Un montant qui n’est pas “farfelu” selon le revendeur, puisque la majorité des pièces vendues sont neuves, et que plusieurs centaines d’entre elles sont aujourd’hui introuvables. Et en effet, le montant ne semble pas freiner les intéressé·e·s, puisqu’en un seul jour, plus de 400 curieux·euses ont consulté l’offre, indique eBay. En tout, elle est même suivie par plus de 700 personnes.
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Mais comment une telle collection a-t-elle pu voir le jour ? Kaori l’explique plus en détail dans la description des produits. “J’ai commencé à ‘collectionner’ au début des années 1990”, commence-t-il. Il l’aura ensuite revendue et rachetée trois fois : une fois parti à la fac, pour ouvrir sa société, et enfin lors d’une vente à Paris, en 2015. Le gros de la collection telle quelle a été constitué des années 2000 à 2010.
Le déclic ? Un séjour à Tokyo, en 2018, qui l’a fait retomber “dans le piège”. Le vendeur annonce alors : “J’ai récupéré quasiment tout ce que j’avais vendu et encore plus jusqu’à maintenant.” De quoi faire des heureux·euses aujourd’hui.
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