Combien de temps passons-nous dans notre vie sur Internet ?

Combien de minutes, d’heures, passons-nous chaque jour sur Internet ? Chaque semaine, mois, années ? Et dans toute une vie ? Avez-vous une idée, même vague ?

NordVPN – oui, le VPN qui sponsorise tous les youtubeurs de France et de Navarre – en a une assez précise. En 2021, l’entreprise s’est lancée dans la “réalisation d’une étude d’envergure” sur le temps passé en ligne. Quatre pays ont été étudiés : la France, l’Allemagne, l’Espagne et l’Angleterre. Avec pour objectif de découvrir quelles sont les habitudes de consommation du web des utilisateurs de chacun de ces pays.

On ne va pas faire durer le suspense bien longtemps : selon NordVPN, nous passons en moyenne 27 années, 7 mois et 9 jours de notre vie en ligne. Sur une durée de vie de 82 ans, prise comme référence par NordVPN, cela représente environ le tiers de notre vie. Sur Internet.

Mais à faire quoi ? C’est bien la question, tant les chiffres paraissent colossaux. Si on rentre un peu plus dans le détail, cette durée de 27 ans et des poussières représente, par an, 122 jours. Sur une semaine, cela fait 56 heures de temps passé en ligne. Durant ces 56 heures, un Français passerait 20 heures à travailler et 36 heures à se distraire.

Ces 36 heures, l’étude de NordVPN les découpe ainsi :

• Les réseaux arrivent sans surprise en haut du classement, avec 6 heures 39 minutes en moyenne à scroller du contenu.
• Les sites de streaming débarquent ensuite (Netflix et compagnie) avec 6 heures et 18 minutes.
• Les vidéos en ligne (YouTube, en somme) prennent 4 heures 40 minutes de notre temps chaque semaine.

La musique, les jeux, le shopping, les recherches et d’autres tâches (administratives par exemple) prennent la suite du classement.

Ces données ont été recueillies sur un panel de résidents français âgés de 18 à 74 ans. On ne sait toutefois pas combien, ni comment ils ont été sondés et regrettons que NordVPN ne partage un peu plus avant sa méthodologie.

Ces chiffres vous étonnent-ils ? De notre côté, on se dit qu’on est probablement au-dessus de la moyenne nationale.