On a tous cette conv’ WhatsApp, celle du quotidien : celle de la famille. Ça souhaite les anniv’, ça passe le premier galop, ça partage une vanne Facebook qu’on a vue il y a deux semaines sur Twitter et il y a un mois sur TikTok. On est bien contents de l’avoir, cette conv’. Elle fait du bien, avec sa normalité. Mais parfois, c’en est trop. Et le message du papa de l’utilisatrice @snakel3t a parfaitement théorisé la charge mentale du like, du lol, du love que ce flux de messages peut apporter.
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“J’en peux plus de la pression d’avoir à ‘mdr’, liker, mettre un cœur sur toutes les pensées, photos et activités de tout le monde.
Pour tous les futurs messages : je les aime, je rigole en les lisant, sauf s’ils sont nuls.
Pour toujours.
Je ne peux plus vivre avec cette pression. Je lâche l’affaire.”
Le tweet, qui a engrangé plus de 300 000 likes à l’heure où nous rédigeons ces lignes, a appuyé sur la corde sensible, nous faisant tous nous questionner nos petits usages du quotidien, nos obligations à réagir et les petits leviers de gratification qui vont avec. Alors, si on lit et qu’on ne like pas la prochaine fois, ça ne veut pas dire qu’on vous ghoste. On est là, on est ensemble, et on économise un peu nos clics et nos émojis.
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