Après l’annonce de la plainte le concernant, Lomepal se défend en répondant aux accusations de viol en story Instagram

Publié le par Simon Dangien,

© Youtube Lomepal et Instagram @antoinelomepal

"Est-ce que j’ai forcé qui que ce soit à faire quoi que ce soit ? Non. Est-ce qu’il y a eu des choses illégales ? Non.", se défend Lomepal dans son texte.

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Après la révélation d’une plainte déposée contre lui en 2020 pour des faits remontant à 2017, Lomepal s’est exprimé, postant deux screenshots de l’application Notes en story Instagram. Les faits se seraient déroulés à l’étranger, plus précisément à New York, révèle le Parisien, et la plaignante serait une connaissance du rappeur de 31 ans.

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“Je prends la parole aujourd’hui parce qu’un cap a été franchi ces dernières semaines et que je ne peux plus laisser dire”, explique Lomepal au début de son texte. En effet, le 19 juillet dernier, Jenna Boulmedaïs, rédactrice en chef du média Joly Môme, publiait sur ses réseaux sociaux un texte sur les agissements du rappeur et revenait sur “des témoignages de femmes ayant subi les gestes déplacés et non désirés d’Antoine Lomepal”. Après cette publication, elle aurait reçu des menaces et une plainte de la Fédération française de musique d’après son avocat Me Anthony Winkel.

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Sur Instagram, Lomepal se défend, revenant sur les premières années de sa carrière : “J’ai eu de nombreuses relations. Des rencontres de fin de soirée, ou on fait l’amour sans se connaître, des relations d’un soir. Et pour moi comme tout le monde, il peut y avoir des incompréhensions, des perceptions différentes”. Il continue en annonçant avoir “appris aujourd’hui par la presse qu’une plainte a été déposée contre [lui] en 2020.

Le rappeur se dit prêt à répondre “à la justice lorsqu’elle [l]‘interrogera, [dit qu’il est] serein, [qu’il sait] que la vérité sera faite”. Il poursuit : “Est-ce que j’ai forcé qui que ce soit à faire quoi que ce soit ? Non. Est-ce qu’il y a eu des choses illégales ? Non.” Lomepal a également donné sa version des faits sur “les histoires délirantes et inventées de toutes pièces qui circulent dans l’industrie musicale. On payerait des femmes, on ferait signer des accords de silence […]”, expliquant que “tout cela est absurde et faux. Ça n’a tout simplement jamais existé […].

Il conclut son message avec cette phrase, justifiant sa prise de parole publique : “Je décide de mettre moi-même le contenu de ces mensonges sur la place publique, parce que je sais ce que j’ai fait et ce que je n’ai pas fait. Je sais que je n’ai rien à cacher, et aucune raison de me cacher”.

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