Vous ne devinerez jamais ce qui est caché dans la camionnette qui suit Beyoncé partout sur sa tournée

Publié le par Mélissa Chevreuil,

Indice : une reine ne sort jamais sans son trône !

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On le sait, les stars, les vraies, ont des exigences qui nous dépassent parfois (souvent). Beyoncé ne fait pas exception à la règle et le prouve au gré de sa tournée actuelle, le “Renaissance World Tour”. Sur une photo volée prise en coulisses, on peut ainsi voir un conteneur avec l’inscription “Beyoncé Toilet Seats”. Ça ne serait pas un prank d’un twittos un peu taquin. Une source aurait confié à la version américaine du tabloïd The Sun que “son équipe fait de grands efforts pour s’assurer qu’elle a son propre confort et qu’un siège de toilette personnel en fait partie.”

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Ainsi, une sorte de petite camionnette avec le fameux trône suivrait Queen B aux quatre coins du globe.

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Watch the Throne

Sur X (Twitter), les avis sont divisés. Si certain·e·s trouvent cette requête totalement insane et commentent “Quelle diva !”, d’autres comprennent et en feraient de même s’ils le pouvaient. Autre question très légitime que beaucoup se posent : qui l’installe ? Ne nous mentons pas, ce n’est certainement pas son utilisatrice… mais cela veut-il dire qu’une personne est entièrement dédiée à cette délicate mission ? Le cas échéant, qu’est-il écrit sur sa fiche de poste ? “Monteur·se des toilettes de Beyoncé” ?

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À titre personnel, l’autrice de ces lignes comprend la chanteuse : déjà qu’en tant qu’anonyme, j’ai un mal fou à utiliser des toilettes publiques (ce qui n’est pas sans m’évoquer l’éternel gros débat des collègues sur le caca au travail)… Je peine à imaginer l’une des plus grandes stars de notre époque s’accorder une pause pipi sur une aire d’autoroute ou dans les modestes toilettes du Stade de France. Mais à présent, et sans doute comme d’autres individus sur les réseaux, je ne peux m’empêcher de me demander à quoi ressemble ce fameux siège. Est-il serti de diamants et autres pierres précieuses ? Possède-t-il sa propre odeur, confectionnée par un atelier de niche qui facture à 6 ou 7 chiffres ? Nettoie-t-il tout seul l’arrière-train de Queen B ? A-t-il été moulé sur mesure pour mieux lui convenir ? Ou ne s’agit-il que d’un pauvre siège blanc et insipide que l’artiste se trimballe pour de simples raisons d’hygiène ? Tant de questions, un seul W.-C., et si peu de réponses…