Vous avez aimé Joker : Folie à deux ? Vous allez adorer ces 3 artistes à l’univers fou amoureux

C’est le film qu’on attendait : Joker : Folie à deux vient de sortir. Lady Gaga et Joaquin Phoenix y incarnent avec émerveillement et loufoquerie le couple de Harley Quinn et du Joker et ça nous a fait penser à trois artistes qui partagent un peu la même folie amoureuse et créatrice.

Jackson Pollock

Forcément, il nous fallait un peintre un peu chaotique. Sa technique du dripping est d’ailleurs la preuve de sa folie créatrice. S’il fallait un tableau pour imager l’esprit du Joker, ça serait sans aucun doute une œuvre de Jackson Pollock, comme Convergence. Finalement, les deux partagent les mêmes couleurs mentales. Si vous voulez admirer des peintures de l’expressionniste états-unien, rendez-vous au musée Picasso parisien qui expose ses premières toiles.

Yayoi Kusama

Yayoi Kusama adore les perruques colorées, les gros motifs, les couleurs audacieuses et les démonstrations monumentales, un peu comme notre chère Harley Quinn. Les deux ont un univers très marqué et monomaniaque : quand Harley Quinn a une obsession, elle la garde, et c’est à peu de chose près ce que Yayoi Kusama a fait toute sa vie, en dessinant les mêmes pois à répétition et en reproduisant sans relâche les mêmes citrouilles.

Depuis 1977, l’artiste vit dans un hôpital psychiatrique à Tokyo, où elle dispose de son propre atelier d’artiste, dans la même rue, quelques numéros plus bas. Si le Joker et Harley Quinn s’étaient trouvé une passion pour l’art plus plastique (et pas les claquettes et le chant), il ne fait aucun doute qu’ils auraient installé un petit studio d’artiste dans leur chambre d’hôpital.

Marc Chagall

C’est le peintre amoureux par excellence et n’oublions pas qu’entre le Joker et Harley Quinn, il y a de l’amour, plus que de la folie. Chez Marc Chagall, l’amour est élevé au spirituel, au religieux. “Dans la vie, comme sur la palette de l’artiste, il n’y a qu’une seule couleur qui donne un sens : c’est la couleur de l’amour”, disait le peintre, dont les titres des œuvres vont des Amoureux aux coquelicots à Ma Fiancée aux gants noirs. Du love, on vous dit.