Que pouvait-on attendre d’un projet pensé en 2012, confirmé en 2018, tourné en 2019 et réalisé par un illustre inconnu (Michael Matthews), avec à l’écran la star du Labyrinthe (Dylan O’Brien), une actrice rompue aux seconds rôles dans des séries et films à gros budgets (Jessica Henwick) et Yondu Udonta des Gardiens de la galaxie (Michael Rooker) ? Pas grand-chose.
Love and Monsters est ce projet. Il aurait dû sortir en 2020 dans nos bonnes vieilles salles de cinéma via la Paramount. Le Covid en a décidé autrement, rebattant les cartes de sa distribution, privilégiant le virtuel et le streaming au présentiel et sièges bourrés de pop-corn, même si quelque 300 salles américaines ont eu le privilège de le défendre au détour du mois d’octobre dernier.
En France, sa diffusion se fait discrètement ce mercredi 14 avril sur Netflix, entre la sortie de la série Le Serpent qu’est Tahar Rahim, du long Madame Claude et du très bon film d’animation Les Mitchell contre les machines. Et on vous donne 3 raisons de vous jeter dessus.
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