Le jour de l’élection de Donald Trump, on a rencontré Billie Joe Armstrong, le leader de Green Day. Un entretien à chaud.
L’interview se déroule dans un hôtel du 8e arrondissement de Paris. Six heures plus tôt, Donald Trump prononçait son discours de victoire, en tant que 45e président élu des États-Unis, après avoir réussi, contre toute attente, à battre la candidate démocrate Hillary Clinton.
Face à nous, Billie Joe Armstrong, leader de Green Day depuis plus de vingt-cinq ans. Les yeux vifs, le compositeur de l’album American Idiot (2004) n’entend pas sombrer dans la dépression, lui qui a soutenu Bernie Sanders lors de la campagne de la primaire démocrate. De la création de Donald Trump par les médias à la défaite des grands de la pop culture américaine, on a recueilli sa réaction à chaud.
Green Day vient de sortir Revolution Radio, un nouvel album sûrement le plus engagé depuis American Idiot (ce dernier remonte déjà à 2003). Le groupe d’Oakland sera en concert à Paris à Bercy, le 3 février 2017.
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Interview réalisée avec Juliette Geenens
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