Dans Here, ils incarneront le couple central de cette grande fresque inédite et technologique qui se déroulera sur un siècle mais en un lieu unique : le salon d’une maison où ses habitants successifs y seront filmés en un plan fixe et unique. Hanks y interprétera Richard et Wright sera Margaret, sa petite amie puis sa femme, que l’on suivra de leur adolescence à leur fin de vie, grâce à un gros travail de make-up et de prothèses mais surtout de de-aging dont le résultat se révèle dans de premières photos.
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Martin Scorsese a récemment utilisé cette technologie pour rajeunir Robert De Niro dans The Irishman, sans pour autant réussir à convaincre, raison pour laquelle George Miller n’a pas souhaité l’expérimenter sur Charlize Theron dans le prequel de Mad Max, préférant recruter une autre actrice pour incarner la version jeune de Furiosa.
Comme pour quasiment chacun de ses derniers films, Robert Zemeckis va donc mettre à l’essai une des dernières avancées technologiques pour l’écran. “J’ai toujours été labellisé, et je ne sais pas trop pourquoi, comme le mec des effets visuels. Mais je les ai toujours utilisés pour servir un arc narratif […] car je pense que notre boulot en tant que réalisateur est de montrer au public des choses qu’il ne voit pas dans la vraie vie”, a déclaré le cinéaste à Vanity Fair.
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Gadget ou véritable expérience de cinéma ? Réponse le 13 novembre prochain en salle.