Jeudi soir, sur TF1, Audrey Fleurot est de retour pour incarner le personnage de Morgane Alvaro pour la troisième saison de HPI. Mais attendez, on mate HPI chez Konbini ? Ben ouais, enfin moi oui. Chacun ses petits plaisirs coupables. Pourquoi ? Parce que même si HPI n’est pas The Wire, j’en conviens, on est jamais contre une petite série policière à heure de grande écoute. Et puis chez Konbini, on adore Audrey Fleurot.
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Pour le retour de la série, on s’est donc dit qu’on allait passer un test HPI en ligne. Avec humour, hein, on est ici pour un petit défi, pas pour décrocher un certif de parent d’élève pour le petit dernier qui cartonne un peu trop en CE2 tout en se faisant charrier par ses camarades de classe. On n’est pas là non plus pour invalider des diagnostics, on est sur un test en ligne réalisé en quelques minutes, rien de très sérieux, OK ? Verdict ? Ça va faire plaisir à certains, on est ni turbo malin ni trop con con, bref, on est dans une belle moyenne.
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Maths, logique et culture G
Le test se divise en trois parties à commencer par une série de 50 questions chronométrées dites “psychotechniques”. C’est là que le bât blesse. Si on se croit plus malin que la moyenne, pour être qualifié de haut potentiel intellectuel, il va falloir aussi carburer en calculs et en puzzles. Spoiler, ce n’est pas mon fort.
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Des suites, des formes géométriques, des petits problèmes mathématiques. On ne passe pas un très bon moment. De mon côté, je m’en sors à la fin avec un 58 %, un peu au-dessus de la moyenne. Comme au bac, quoi : au talent.
S’ensuit une série de questions de culture G, et pensant avoir bien répondu à la plupart, la punition ne tarde pas, on est sur un très juste 47 %. Dans HPI, je vais juste garder le PI.
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Anamnèse
La dernière partie, elle, se profile plus comme un questionnaire ouvert pour tenter d’évaluer un éventuel diagnostic. Et j’y retrouve bien des traits de ma personnalité. Objectivement, je suis le cliché de certaines personnes qui appuient un peu trop sur le fait d’être parfois différent alors qu’ils sont simplement très autocentrés. Je me prends en exemple, hein : si je coupe la parole beaucoup aux gens, ce n’est pas que je suis HPI, c’est que je respire un peu plus d’air que la moyenne, ce qui fait juste de moi un malpoli.
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Bon, vous vous en doutez, je ne suis pas HPI, mais je vais regarder HPI. Si j’ai besoin d’une excuse la prochaine fois, je dirais que c’est parce que j’ai répondu que je détestais les jeux de société.
Bref, je savais que je ne serais pas haut potentiel intellectuel, mais vous, si ça ne va pas ouf parce que vous ne savez pas trop ce qu’il se passe dans votre tête, le mieux, c’est toujours d’en parler.
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HPI, c’est tous les jeudis soir à 21 h 10 sur TF1 à partir du 11 mai.
PS : certains de mes collègues ont eux aussi passé le test, mais vu qu’ils ont de meilleures notes que moi, je ne préfère pas en parler.