La suite de Gladiator dévoile ses gros muscles. Le magazine américain Vanity Fair a publié ce lundi 1er juillet les premières photos officielles de Gladiator 2, une semaine avant la diffusion d’une première bande-annonce.
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Pour teaser le blockbuster, Paramount a misé sur ses deux principaux atouts : Paul Mescal et son physique de statue grecque en Lucius, fils de Lucilla et neveu de l’affreux empereur Commode incarné par Joaquin Phoenix dans le premier opus, et Pedro Pascal en Acacius, un général romain déchu qui a fait ses classes auprès de Maximus (Russell Crowe dans le premier film), qui se dévoilent tout en muscle, en sueur et en jupettes.
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Sur ces premières photos, Denzel Washington se dévoile également en Macrinus, un marchand d’armes qui possède une équipe de gladiateurs et Joseph Quinn en empereur Geta à la tête de l’Empire romain aux côtés de son frère jumeau l’empereur Caracalla, incarné par Fred Hechinger.
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Gladiator 2 reprendra l’histoire près de vingt ans après celle du premier volet qui se concluait sur la mort de Maximus. Le jeune Lucius a grandi loin de sa mère qui, pour lui donner une chance de survie, l’a envoyé en exil loin de l’Empire romain, en Numidie, en Afrique, bientôt envahie par Acacius.
Du côté des atouts physiques évidents qui lui ont permis d’obtenir le rôle très convoité, Paul Mescal évoque d’abord son nez “qui a quelque chose de romain” […] “Ce même nez que je détestais au collège, et qui m’a valu bien des moqueries, a été un atout quand Ridley Scott a cherché des acteurs pour Gladiator 2.“
Pour devenir un Lucius crédible au-delà son son profil, l’acteur a par la suite suivi un entraînement sportif très intense, qu’il décrit comme davantage porté sur la chorégraphie des combats plus que sur une simple prise de masse afin de devenir puissant plus qu’un simple sex-symbol, a expliqué l’acteur à Vanity Fair : “Je voulais être aussi puissant que possible, donner l’impression d’être quelqu’un qui peut faire beaucoup de mal quand on le cherche. Si on se concentre trop sur l’aspect physique, le risque, c’est qu’à la fin, on ressemble plus à un mannequin pour sous-vêtements qu’à un guerrier.”
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Et Pedro Pascal d’enfoncer le clou de l’impressionnant et avantageux physique de son partenaire de jeu : “Il est devenu tellement fort. Je préférerais être jeté du haut d’un immeuble que t’avoir à me battre avec lui à nouveau. Affronter quelqu’un de si musclé, de si talentueux et de tellement plus jeune… C’est brutal, mec. Je l’appelais Paul le mur de briques.”
Film de guerre épique ou spot publicitaire pour sous-vêtements masculins ? Réponse le 13 novembre prochain en salle.