Ouch : un ticket pour le dernier show d’Adele avant son break vaut près de trois loyers parisiens

Publié le par Konbini,

© SNL

Après l’annonce de son long hiatus, le prix des tickets pour la dernière date de la chanteuse à Las Vegas a littéralement explosé.

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On le sait, on risque de ne plus avoir de nouvelles d’Adele avant un long moment. Alors qu’elle bouclait sa mini-résidence de dix dates à Munich le samedi 31 août dernier, la chanteuse britannique a confirmé qu’il ne lui restait que dix dates dans le cadre de sa résidence Weekends With Adele au Caesars Palace de Las Vegas avant d’entamer un congé d’une durée indéterminée — mais probablement étendue. “J’ai juste besoin de me reposer. J’ai passé les sept dernières années à me construire une nouvelle vie et je veux la vivre maintenant.”

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Il n’en fallait pas plus pour affoler les fans, qui se sont rués sur les dernières places disponibles pour son show final (le 100e de sa résidence) du 23 novembre, et les prix ont tout simplement explosé. Les plateformes de revente de billets comme Gametime ou Viagogo, qui estimaient la semaine dernière à 2 800 dollars (environs 2 500 euros) le prix moyen des places pour le concert, ont indiqué que celui-ci s’élève désormais à 4 700 dollars (environ 4 200 euros).

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Les places les moins chères sont désormais proposées à 2 770 dollars (environ 2 500 euros), tandis que les places les plus chères s’élèvent à plus de 14 000 dollars (environs 12 600 euros) l’unité. À savoir qu’initialement, les prix de vente officielle des billets pour le concert s’élevaient à 400 dollars (environ 360 euros) pour une entrée normale et à 1 000 dollars (environ 900 euros) pour un pass VIP.

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Quand on sait que le loyer mensuel moyen pour un appartement parisien s’élève à plus ou moins 1 600 euros, on peut donc dire que le prix d’un ticket pour cette fameuse date équivaut aujourd’hui, grosso modo, à près de trois loyers parisiens. Le pire, comme le prévoient les plateformes de revente en ligne selon The Standard, c’est que ces chiffres risquent de gonfler davantage au fil des jours. De quoi consoler notre FOMO et nous rappeler qu’on est de toute façon certainement trop fauchés pour pouvoir espérer participer à la fête.