Ce lundi soir, je me suis rendu au théâtre du Châtelet afin d’immortaliser la cérémonie du Ballon d’or. Je suis arrivé à 16 h 40 car je voulais être en avance pour être bien placé sur le tapis rouge. J’avais peur que ça soit la guerre, et je ne me suis pas trompé ; j’ai bien fait d’arriver tôt, sinon mon rêve n’aurait pas été aussi magnifique.
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Tous les journalistes se sont installés à 17 heures et les premiers invités sont arrivés à 19 heures. Le premier joueur de foot que j’ai vu, c’était Emiliano Martinez. J’étais dégoûté car, en tant que Français, on a une image négative de lui, mais je suis resté professionnel et je l’ai pris en photo.
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Ensuite, ça s’est enchaîné ; les footballeurs et les influenceurs se sont succédé sur le tapis rouge. Mention spéciale à Djibril Cissé qui était trop beau, à la famille Messi qui était trop mignonne, et à Tiakola qui est venu avec des jeunes, c’était trop beau à voir.
Le photocall s’est terminé à 20 h 30, c’est là que les choses merveilleuses ont pu commencer pour moi, puisque j’ai pu entrer dans le théâtre. J’étais au deuxième balcon tout en haut, et j’étais chokbar : Drogba qui présentait, Eden Hazard sur le plateau… C’était un truc de fou, un rêve de gosse. Je regarde cette cérémonie depuis tout petit et à aucun moment dans ma vie j’aurais imaginé y aller. Et je suis encore plus content car j’ai pu m’en vanter auprès de ma famille qui a finalement compris ce qu’était mon travail ! Enfin, mention spéciale aux petits fours et à la team AOP, l’agence qui nous a invités.
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Propos d’Adrien Antoine recueillis par Lucie Bacon