On connaît le plan B de Bad Bunny au cas où sa musique ne lui rapporte plus assez de flouze

Publié le par Flavio Sillitti,

© FX/Rimas Entertainment

Le chanteur portoricain confie qu’au-delà des scènes et des micros, il rêve aussi de fourneaux et de recettes.

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S’il ne cuisinait pas des tubes à la chaîne dans son studio, Bad Bunny serait en train de nous préparer des saucisses de porc marinées, des bananes plantains rôties ou d’autres dingueries culinaires à en faire saliver Hélène Darroze. C’est dans son entretien pour l’édition de mars du magazine Interview, mené par l’acteur et réalisateur portoricain Benicio Del Toro, que le rappeur a confié vouloir poursuivre une carrière dans les arts culinaires au cas où sa carrière musicale venait à s’achever – on en doute.

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“Si je n’allais nulle part avec ma musique, j’aurais travaillé dans les arts culinaires. J’ai toujours vu la cuisine comme quelque chose de créatif parce que, bien sûr, il y a des recettes, mais il y a aussi la possibilité d’élaborer ses propres plats, de créer sa propre saveur.”

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Benito Antonio Martínez Ocasio de son vrai nom ajoute tout de même que sa carrière musicale était inévitable tant il s’est donné les moyens d’y arriver : “En fait, j’ai tellement rêvé de cette carrière. Je rentrais de l’école et je me mettais directement à l’ordinateur pour créer des rythmes et apprendre à enregistrer ma propre musique. Je me disais parfois : ‘Bon sang, si ça ne doit pas se faire, je ne sais pas ce que je vais faire parce que je n’ai pas d’autre rêve.'”

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Après des jobs alimentaires dont celui d’emballeur de courses dans un supermarché Econo, celui qu’on connaît aujourd’hui comme la superstar au sommet des streams internationaux a pris son mal en patience et a persévéré au fil des cinq albums qui composent aujourd’hui sa discographie. Dans tout ça, il a même fait un peu de place pour ses rêves de gastronomie, avec l’ouverture en 2022 de son restaurant Gekko, l’adresse américano-japonaise la plus hype de Miami, qu’il a inauguré en équipe avec le magnat de la nuit David Grutman. Derrière les fourneaux ou sur les plus grandes scènes du globe, une chose est sûre : le monde est à Bad Bunny.