Diabi, producteur et membre de la 75e session, a publié lundi après-midi sur son compte X/Twitter et Instagram un communiqué signé Ken Samaras, alias Nekfeu. Dans cette lettre, le rappeur se défend de toutes les accusations faites par son ex-femme, dévoilées dans la journée d’hier.
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Nekfeu est notamment accusé de “violences psychologiques, sexuelles et physiques” par son ancienne compagne, avec qui il a eu un enfant.
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“L’ensemble de ce communiqué est faux”
“J’ai appris ce matin que mon ex-épouse, par le biais de son avocate Florence Fekom, avait publié un communiqué entièrement mensonger et diffamant m’accusant de violences notamment sexuelles. L’ensemble de ce communiqué est faux”, commence par dire Nekfeu dans sa réponse.
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Il dénonce un complot à base de chantage et de manipulation : “Ces accusations ont déjà été classées sans suite par la Justice et reviennent au moment même où elle a été interpellée hier soir pour disparition inquiétante de mon fils de 3 ans. Elle est actuellement sous contrôle judiciaire depuis septembre et a interdiction d’approcher l’école de notre fils. Depuis la procédure de divorce que j’ai engagée il y a 3 ans et qu’elle n’a jamais acceptée, elle a essayé de se servir de notre enfant pour m’atteindre.”
Pour Nekfeu, les quatre années de violences que son ex-femme aurait subies, résultant en stress post-traumatique sévère, ne sont qu’une invention : “N’arrivant pas à parvenir à ses fins par la voie judiciaire, elle tente désormais en désespoir de cause de salir mon honneur en public. C’est pour celui de mon fils que je me sens obligé de me justifier à mon tour par un communiqué.”
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Ce communiqué de Nekfeu a aussi été repartagé par Marie-Alix Canu Bernard, avocate pénaliste de plusieurs stars. Elle est réputée pour sa gestion des dossiers sensibles. C’est notamment elle qui a défendu récemment Kylian Mbappé pour ses affaires judiciaires en Suède.